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104
376.
marine
. M
anuscrit
sur les postes d’amarrage, [début XIX
e
siècle] ; cahier in-8 de 68 pages, couv. cart. de papier
marbré rouge.
300/400
Recueil détaillant 34
postes
d
amarrage
, chacun soigneusement dessiné à l’encre noire, avec, en regard, des observations et
précisions sur les sondes.
377.
marine
. P.S. par Léon S
ay
, ministre des Finances,
Paris
12 avril 1878 ; 4 pages grand in-fol. sur vélin, en partie
impr.
100/150
A
cte
de
francisation
du vapeur à hélice
Les Vosges
, appartenant à MM. N. P
aquet
et C
ie
, armateurs français domiciliés à
Marseille, avec description du navire construit à Dumbarton en 1873.
378.
MARINE
. 18 lettres ou documents divers, et 15
photographies
, 1914-1944 ; formats divers.
100/150
E
nsemble
concernant l’armateur Louis N
icol
(1879-?), directeur de la Compagnie des Chargeurs réunis, président de la
Sous-Commission Marine Marchande à la Délégation Française auprès de la Commission Allemande d’Armistice et travaillant au
Ministère de la Marine (1942), etc. Correspondance avec divers membres des ministères ou autorités marines, commerciales, etc. ;
2 menus de banquets signés et illustrés (1942) : correspondance autour de sa promotion au grade de commandeur de la Légion
d’Honneur ; photographies : portraits, portraits de famille, de promotions, de soldats dans l’armée, et 8 clichés de paquebots et de
leur arrivée à New York ; 2 médailles (Compagnie Transatlantique, et Alliance Française Buenos Aires) ; etc.
379.
Ignace Thomas MARTIN, dit martin de gallardon
(1783-1834) visionnaire. L.A.S., Gallardon
15 septembre 1816, à M. N
usse
, curé et doyen d’Anizy-le-Château, et
manuscrit
d’époque d’une
Relation concernant
Ignace Thomas Martin 
; 2 pages et demie in-4, adresse, et cahier de 54 pages in-fol.
400/500
R
are
lettre
racontant
ses
visions
et
son
entrevue
avec
L
ouis
XVIII. [Paysan de Gallardon près de Chartres, Martin vit
plusieurs fois apparaître en 1816 l’Archange Raphaël qui le chargea d’aller voir Louis XVIII pour qu’il remette de l’ordre et de la
religion en France ; il fut reçu à huis clos par Louis XVIII aux Tuileries en avril 1816, et apparut dès lors comme une sorte de
prophète.] Martin assure avoir eu des apparitions, la première ayant eu lieu l’après-midi du 15 janvier dernier : « jetois ocupé a
etendre du fumié dans les champs il sest apparu un homme a moi sans que je sache dont il venoit il ma chargé dune commision
daller trouvé le roi pour lavertir des malheur qui etoit pres de tomber sur lui et sur toute la France. Vous me demandé si je suis
parvenu a parlé au roi, la chose est trop connus pour en douter »… Il fut reçu par le Roi le 2 avril, sans savoir tout ce qu’il avait à
lui dire, « mais il mavoit été annoncé davoire confiance en Dieu que les parole mé viendrois a la bouche et que le roi ne chanceleroit
pas pour croire toute les chose que je lui devez annoncer. Et je puis vous asurer que le roi a convenu que je lui ai dit que la verité.
Les fleaux sont terible telle que larchange Raphaël me les a annoncé le dix mars, que plusieur ville de France seront detruite ou
il nous resteroit pas pierre sur piere et que la majeure partie du peuple periroit et que la paix ne seroit rendu a la France quapres
lannée 1840. Ce nest que conditionel car il ma été annoncé que si le peuple rentrait dans la penitence, que les fleaux seroit areté »…
La
Relation
s’annonce comme une « concordance » d’autres récits des apparitions, de l’examen de Martin par Royer-Collard,
directeur de la maison de santé de Charenton, et par Philippe Pinel, puis de l’audience accordée par Louis XVIII ; elle donne en
annexe divers documents, dont le texte de la lettre à l’abbé Nusse.
O
n
joint
une relation des événements sur papier à en-tête de l’
Evêché de Soissons
, et une L.A.S. de l’historien G. Lenotre.
380.
martinique
. P
rocès
-
verbal
manuscrit (expédition) d’une vente de la succession du Sieur Arnaud C
ayetant
, la
Trinité 6 février 1744 ; cahier de 13 pages in-fol.
800/1.000
Vente après décès, du 3 au 6 février 1744, de vêtements, chevaux, meubles, couverts, ustensiles, armes et linge du défunt,
ainsi que ses « effets noirs », soit 16 Noirs (avec leurs noms) vendus aux enchères en un seul lot au sieur Jean-Baptiste Serraut, « à
treize mil deux cents cinquante livres »…