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39
96.
LITTÉRATURE
. 6 L.A.S.
150/200
Armand C
arrel
(à Henri Dutrône), Ulric G
uttinguer
(à un libraire, 1835), Alphonse K
arr
(à Achille Ricourt).
À Jeanne C
antel
sur sa
Cléopâtre
(1890) : Maurice B
arrès
, J.-H. R
osny
, et C
almann
L
évy
(à Anatole France).
97.
LITTÉRATURE
. 10 L.A.S. (qqs défauts).
120/150
J.J. C
hampollion
-F
igeac
, Michel C
hevalier
, Paul D
éroulède
(2, plus une photographie dédicacée à Miguel Zamacoïs),
Alexandre D
umas
fils, Émile de G
irardin
, Émile H
enriot
, A. de L
amartine
, Catulle M
endès
, Jules M
ichelet
.
O
n
joint
une p.a.s. du sculpteur François J
ouffroy
(au sujet d’une statuette de Lamartine), une l.a.s. du comte d’O
rsay
à Jean
Gigoux, et un billet d’entrée à la Comédie Française.
98.
LITTÉRATURE
. 11 L.A.S. adressées à l’historien Georges P
oisson
, 1974-1987.
120/150
René B
arjavel
, Julien G
reen
(évoquant ses souvenirs du Vésinet), Félicien M
arceau
(sur Choderlos de Laclos), François
N
ourissier
(6, notamment à propos du
Laclos
de G.P.), Maurice T
oesca
(2). On joint 4 l.a.s. par Joséphine B
aker
, Yvette C
hauviré
(2) et Maurice S
chumann
.
99.
Maxime litvinoff
(1876-1951) homme politique et diplomate soviétique, Commissaire du Peuple aux Affaires
étrangères. L.A.S., Moscou 4 janvier 1934, au Président Édouard H
erriot
 ; 1 page in-4 aux armes soviétiques.
120/150
Réponse à ses vœux : « j’espère fermement que de longues années de bonne et fructueuse collaboration nous attendent tous
deux, au profit de cette paix si nécessaire à nos peuples et dont vous êtes le plus sûr et le plus dévoué champion »…
100.
Élisabeth-Charlotte d’Orléans, duchesse de LORRAINE
(1676-1744) fille de Monsieur et de la Palatine, femme
de Léopold I
er
de Lorraine, mère de l’Empereur François I
er
. L.S. avec compliment autographe « vostre bien affectionnée
cousine Elisabeth Charlotte », Commercy 16 janvier 1741, au duc de F
leury
 ; 1 page in-4.
250/300
« Ce que vous avés bien voulu me témoigner à l’ôccasion de ce renouvellement d’année m’a été fort sensible ; je me flatte que
vous ne rendés pas moins de justice à mes sentiments qui me porteront toujours volontiers à m’interesser sinçerement a tout ce
qui peut contribuer à vôtre entiere satisfaction »…
101.
louis xvi
(1754-1793). P.S., Paris 2 septembre 1791 ; contresignée par Arnaud de L
aporte
, ministre de la Maison
du Roi ; 1 page in-fol. à en-tête gravé.
500/600
Ordre au Trésorier général de la liste civile, J.-B. T
ourteau de
S
epteuil
, de payer au S. de L
iancourt
la somme de 2.400 livres
« que j’ai ordonné lui être délivrée pour être distribuée, à titre de secours, aux habitans de Breuil »…
O
n
joint
une autre P.S. (secrétaire), 4 novembre 1788, en partie impr., contresignée par Loménie de Brienne, convoquant les
États de Franche-Comté.
102*.
LOUIS XVI
. P.S., Paris 18 décembre 1791 ; contresignée par le ministre de la Justice Marguerite-Louis-François
D
uport
-D
utertre
(1754-1793) ; vélin in-plano en partie imprimé, à en-tête
La Nation, Le Loi & le Roi
.
700/800
B
revet
nommant le Sieur Jean-Charlemagne de M
ontcimay
de M
usigny
à la place de Commissaire ordinaire des Guerres.
103*.
LOUIS XVIII
(1755-1824). P.S. « Louis », 9 janvier 1815 ; 1 page petit in-fol. (portrait gravé joint).
200/250
« D
écisions
rendues dans la Séance du Conseil des ministres du Lundi neuf janvier 1815 », validant 9 ordonnances ou
approbations concernant : les retraites et pensions accordées aux officiers de l’Armée Royale, la rédaction de lettres par le Ministre
des Affaires Étrangères à l’ambassadeur d’Espagne, la distribution des fonds pour le service de Janvier 1815, les coupes de bois
dans les forêts de l’État, les pensions des fonctionnaires, et le « remplacement des registres de l’État-civil de l’arrondissement de
Soissons perdu ou détruit par les événements de la guerre »…
104.
Gabriel Bonnot, abbé de MABLY
(1709-1785) philosophe et historien, frère de Condillac. L.A.S., Versailles
10 mars 1745, à un cousin ; 3/4 page in-4.
250/300
« Mon cher cousin, deux premiers commis du departement de la guerre, et qui sont fort amis de M. Le Tourneur, lui ont
parlé de la bonne façon en votre faveur, et je compte qu’en rendant compte de votre demande à M. le comte d’A
rgenson
, il en fera
sentir la justice. Vous m’avez fait sentir combien il est desagreable de n’avoir aucun crédit, c’est un mal que je resens toutes les
foix qu’un ami a besoin de quelque recommandition. Vous ne dittes pas assez de mal des grands, comme je vis dans leur paix, je
pourrois en dire plus de chose »…