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On joint un document manuscrit :
Statuts de la Société des amis du Roi
, 7 septembre 1815, certifié conforme par le
président, Guerineau.
98.
Alexandre BERTHIER
(1753-1815) maréchal et ministre de la Guerre. L.S., Varsovie 27 janvier 1807 à 4 heures
de l’après-midi, au maréchal Soult ; 1 page in-fol.
200/300
L’Empereur ordonne la levée des cantonnements de Soult et « de réunir tout votre corps d’armée sur Wittenberg où se rend
le Grand Duc de Berg [Murat]. L’Empereur sera demain à Pultusk, il vient d’ordonner de lever tous les cantonnemens d’hiver
pour reprendre l’offensive et donner une vigoureuse poussée à l’ennemi »…
99.
Alexandre BERTHIER
. P.S. comme Major général, 3 février 1807, pour le maréchal Soult ; 1 page et quart
in-fol.
200/300
Disposition générale de la journée
, une semaine avant Eylau. La division de Grouchy ira vers Gustade et occupera Digitten,
et se mettra aux ordres de Soult, qui commandera la droite de l’Armée. « Il se rendra à Digitten, fera occuper Redenen, et
choisira des chemins pour tomber sur les derrières de l’ennemi […] il n’attaquera cependant cette position que quand le G
d
duc
de Berg [Murat] aura attaqué ». Le Grand-Duc de Berg qui commandera la gauche de l’armée se rendra sur la route de Lipstadt,
où il fera passer les Dragons de Milhaud, et aura sous ses ordres la Division Saint-Hilaire, et le corps du M
al
Ney : « il attaquera
l’ennemi aussitôt qu’il croira ses forces suffisantes, c.à.d. vers une heure après-midi »…
100.
Louis-Jean BERTIER DE SAUVIGNY
(1709-1788) intendant de la généralité de Paris, et premier président du
Parlement de Paris. P.S., Paris 5 février 1762 ; 1 page in-fol., petite vignette aux armes royales, à son en-tête
Louis-
Jean Bertier de Sauvigny, Chevalier, Conseiller d’État , Intendant de justice, Police & finance de la généralité de
Paris
.
50/60
Ordre de payer à Nicolas Dubois 753 livres pour les « réparations de l’église de la paroisse de Vareilles »… Reçu de Dubois
de cette somme pour les réparations « de l’église et cloche » de cette paroisse…
101.
Blessés
. 17 L.S., février 1814-septembre 1815, la plupart aux administrateurs des hospices de Chartres ; 21 pages
in-4, la plupart à en-tête, nombreuses adresses.
300/400
Sur l’évacuation des blessés vers Rambouillet et Chartres. Documents signés par Delamotte, adjoint au maire de
Rambouillet (3), Villard, secrétaire du maire de Rambouillet (2), Billard, maire de Chartres (5), Delamotte, Morin, et d’autres
administrateurs de l’hospice civil de Rambouillet, Victor de Noailles, sous-préfet de Chartres et le comte de Breteuil, préfet de
l’Eure-et-Loir.
R102.
Joseph BONAPARTE
(1768-1844) frère aîné de Napoléon, Roi de Naples puis d’Espagne. L.A.S., Naples 14 mars
1806, à son « cher neveu » [Eugène de Beauharnais, Vice-Roi d’Italie] ; 1 page in-4.
300/400
Il a reçu ses lettres annonçant un envoi de 500.000 francs et du « battaillon de Pionniers noirs », et l’instruisant de l’ordre
« pour que les officiers napolitains au service du Royaume d’Italie puissent servir dans l’es corps napolitains » ; il promet d’avoir
pour sa recommandation « tout l’égard que vous avez le droit d’attendre de moi. Le premier cahos des affaires commence à
se debrouiller ici : le corps d’armée aux ordres du général Reigner [Reynier] vient de battre complettement l’ennemi dans la
Calabre, il lui a pris toute son artillerie ; le g
al
Damas est en fuite avec quelques centaines de soldats »…
R103.
Joseph BONAPARTE
. L.A.S., Valence 16 octobre 1812, à une dame ; 1 page in-4.
250/300
« J’ai reçu à Valence seulement les diverses lettres que vous m’avés ecrites il y a plusieurs mois à l’occasion de la maladie de
la Reine ; je vous dois bien de la reconnaissance pour les soins que vous lui avés prodigués, et pour l’empressement que vous
avés mis à m’instruire des progrès de sa maladie et de sa convalescence »…
104.
Lucien BONAPARTE
(1775-1840) frère de Napoléon. P.S. comme ministre de l’Intérieur, sur une L.S. du citoyen
Jouën du 7 ventose VIII (26 février1800) ; 1 page et demie in-fol., 2 cachets encre.
100/120
Joüen, vétéran de la garnison de service du Ministère, demande l’admission de son épouse très gravement malade dans un
des hospices de Paris ; la pétition est certifiée par 5 officiers. Lucien Bonaparte envoie à la Commission des hospices civils de
Paris ; La pièce est visée au dos par le Comité de Bienfaisance de la division du Contrat social, et par les administrateurs du
3
e
arrondissement.