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7
Exemplaire comprenant l’errata imprimé au verso de la p.
103
. Quelques annotations manuscrites anciennes dans les
marges.
Manque de papier réparé en pied du dernier f., atteignant un peu la fin du texte. Quelques rousseurs et taches claires.
Index Aureliensis, n° 132.469 — Renouard : Alde, 206.
10 CÉSAR. Commentariorum elenchus.
Paris, Josse Bade, 1530.
In-8, vélin souple à recouvrements, double filet à l’encre
brune, dos lisse avec le titre manuscrit, tranches rouges avec le titre calligraphié à l’encre brune sur la tranche de
gouttière, traces d’attaches (
Reliure de l’époque
)
.
500 / 600
Rare contrefaçon de l’édition aldine de
1513
, illustrée de
2
cartes à double page et
5
figures à pleine page gravées sur
bois.
Renouard lui-même, dans sa bibliographie des impressions de Josse Bade (II,
530
, n°
1
), ne la mentionne que d’après
Mattaire et reprend la collation de Graesse (II,
6
).
Quelques marginalia de l’époque et ex-libris manuscrits espagnols sur le titre et au-dessous de la préface d’Alde.
Couverture de vélin salie et quasi désolidarisée, intérieur taché de pâles mouillures, moisissure au dernier cahier avec
manques marginaux aux ff. S
7
à S
10
touchant l’errata.
On y joint, du même :
De bello Gallico commentarii VII
. Lyon, Bartholomé Vincent,
1581
. In-
8
, vélin ivoire (
Reliure de
l’époque
). Seconde édition du commentaire de François Hotman, illustrée de
11
bois gravés. Exemplaire incomplet de la
table in fine, travail de ver touchant le texte sur la moitié du volume, pâle mouillure.
11 CHRYSOLORAS (Manuel). Erotemata.
Florence, Benedetto Giunta, 1540.
In-8, cartonnage papier gris, dos de vélin
ivoire avec pièce de titre imprimée (
Reliure du XVIII
e
siècle
)
.
400 / 500
Élégante impression grecque ornée de deux marques des Giunta, sur les premier et dernier feuillets.
Il s’agit de la réimpression, par Benedetto Giunta, de l’édition qu’avait donnée son père Filippo en
1516
de la grammaire
grecque de l’humaniste byzantin Manuel Chrysoloras (
1355
-
1415
) – ouvrage célèbre dans lequel les humanistes de la
Renaissance, tel Érasme, apprirent la langue de Platon.
Delfiol-Camerini, n° 239
.