Page 17 - Catalogue AUTOGRAPHES

Version HTML de base

17
70.
PHILIPPE VII, comte de Paris (1838-1894)
.
Devoir de conjugaison manuscrit signé «
Votre petit Paris
», daté du 16 avril 1844, 1 p., in-folio.
100/150 €
Devoir rédigé par le prince à l’âge de 6 ans.
71.
PHILIPPE VII, comte de Paris (1838-1894)
.
Dessin à la mine de plomb, portrait le représentant enfant, 1 p, in-folio.
100/150 €
Voir la reproduction en page 4 de la plaquette
72.
PHILIPPE VIII, duc d’Orléans (1869-1926)
.
L.A.S. «
Philippe
», jeudi (sans date), 1 ½ p., in-8, sur papier à en-tête aux armes d’Orléans, bordé de noir.
80/100 €
« Mon cher ami, merci de votre bonne lettre, je serais très content de vous revoir et si vous voulez passer chez moi demain matin de midi ¼ à 1 heure je serais enchanté de
vous recevoir, votre affectionné… »
73.
SAINT-ALBIN Louis-Philippe abbé de (1777-1849),
fils naturel de Louis-Philippe, duc d’Orléans, et
de la danseuse Mlle. Marquis, depuis dame de Villemomble
.
L.A.S. «
L.P. de St. Albin
», adressée à Mme. Saint-Hilaire, Paris, 18 janvier 1825, 1 p., in-8, avec adresse au dos.
80/100 €
Aimable lettre dans laquelle il l’informe qu’elle pourra venir toucher vingt francs, chaque mois, chez lui.
74.
WURTEMBERG Alexandre duc de (1804-1881)
.
L.A.S. «
Alexandre duc de Wurtemberg
», Claremont, 23 septembre 1850, 2 p. ½, in-folio, bordée de noir.
250/300 €
Longue et intéressante lettre relative aux intérêts de son fils dans les successions du roi Louis-Philippe et de Madame Adélaïde. «
Monsieur, vous
avez eu la bonté de vous charger depuis la révolution de février de toutes les affaires qui concernaient l’intérêt de mon fils, la part qui lui revient de la succession du roi,
son grand père, étant comme depuis l’ouverture du testament…absolument nécessaire que j’ai entre les mains les copies des différents testament que le roi a faits pour
pouvoir surveiller toutes les opérations et liquidations qui auront lieu. Et vous prie Monsieur de vouloir me faire faire les copies de tous les testaments et codicilles qui ont
rapport à la succession et de les envoyés chez moi en Allemagne : au château de Fantaisie, près de Bayreuth en Bavière. J’aurai plus tard l’occasion de vous écrire encore
Monsieur au sujet de l’héritage et des legs de Madame Adélaïde, il est très important pour l’intérêt de mon fils que le capital que Madame Adélaïde lui a laisser par
testament ne soit pas compromis, dans la masse de la liquidation de la succession du roi, comme il m’a semblé qu’on en a ici l’intention…Je reste ici jusqu’au 30
septembre, si vous avez jusque la à me faire part de quelques affaires ayez la bonté d’adresser votre lettre à Claremont…
»
NAPOLÉON
75.
BACCIOCHI Félix (1762-1841).
L.S. «
Bacciochi Lt Colonel
», adressée à François de Beauharnais (1756-1846), Florence, 6 février 1807, 3 p., in-
folio.
120/150 €
Belle et longue lettre dans laquelle il exprime longuement au marquis de Beauharnais, qui avait quitté son poste en Etrurie pour l’ambassade
de Madrid, les regrets qu’a laissés son départ, et il le comble d’amabilités et d’éloges.
76.
CLARY François Jean deuxième comte, neveu des sœurs Clary (1814-1889).
L.A.S. «
Le général comte Clary
», adressé au général aide de camp de service auprès du roi Louis-Philippe, Paris, le
3 janvier 1836, 2 p., in-8.
80/100 €
«
Me trouvant à Paris jusqu’à ce que je rejoigne une nouvelle destination, je prends la liberté de vous prier de vouloir bien m’obtenir l’inscription sur la liste des personnes
admises à être reçues au bal du Château [des Tuileries] pour avoir l’honneur de faire leur cour à la famille royale. Je vous prie aussi, Mon Général, de vouloir bien
agréer avec tous mes remerciements, la nouvelle assurance de ma considération la plus distinguée.
»
77.
CLARY Julie, reine de Naples et reine d’Espagne (1771-1845).
L.S. «
Julie
», adressée à François de Beauharnais (1756-1846), ambassadeur de France à Madrid, le 30
décembre 1806, ½ p., in-folio.
80/100 €
«
Je vous pris Monsieur de vous rappeler la promesse que vous m’avez faite avant votre départ d’obtenir de Monseigneur le Prince la Paix, ce que vous lui demanderez
pour Madame de Fréville, j’apprendra avec plaisir l’heureuse issue de vos démarches… »