Page 40 - Catalogue AUTOGRAPHES

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comte de (1795-1856)
. L.A.S., adressée à un ami, Paris, 11 mars (sans date), 1 p., in-8.
TESTE Jean-
Baptiste (1780-1852)
. L.A.S., adressée à Monsieur Baumes, membre de la Chambre des députés, Paris, 14
août 1841, 1 p., in-folio, sur papier à en-tête imprimée du ministère des Travaux public.
VATIMESNIL
Antoine de (1789-1860)
. L.A.S., adressée au Préfet d’Eure et Loire, Paris, 7 juin 1824, 1 p., in-folio, sur papier
à en-tête imprimée du ministère de la Justice.
VATIMESNIL Antoine de (1789-1860)
. L.A.S., adressée à
Madame Salnée, Paris, 12 mai 1834, 3 p., in-8.
VILLELE comte de (1773-1854)
. L.A.S., adressée à
Monsieur G. de Fougères, 2 mai 1818, 1 p., in-8.
VILLELE comte de (1773-1854)
. L.A.S., adressée à
Monsieur Emile de La… (son neveu), Marseille, 27 juillet 1845, 1 p., in-8.
VILLEMAIN Abel (1790-1870)
.
L.A.S., adressée à Monsieur Nusevel, Paris, 23 juillet 1841, 1 p., in-folio, sur papier à en-tête imprimée du
ministère de l’Instruction publique.
VIVIEN Alexandre (1799-1854)
. L.A.S., adressée à Monsieur Léon
Fauchet, 3 mai (sans date), 1 p., in-8.
200/550 €
227.
GUIZOT François (1787-1874)
, ministre de l’Intérieur, ministre des Affaires étrangères et ministre de
l’Instruction Nationale.
L.A.S. «
Guizot
», 30 octobre 1846, 1 p., in-4, sur papier à en-tête imprimée du Cabinet du ministère des Affaires
étrangères.
80/100 €
« Mon cher Monsieur, le Roi a signé hier, 29 octobre, votre ordonnance définitive comme ministre au Mexique. Tachez à présent qu’il y ait un Mexico. Je suis charmé
de vous avoir mis enfin en mesure de montrer ce que vous valez. Mille amitiés ».
228.
HUMANN Jean (1780-1842)
, ministre des Finances de 1832 à 1836 puis de 1840 à 1842.
L.A.S. «
Humann
», adressée au Préfet d’Eure et Loire, Paris, 13 juin 1835, 1 ½ p., in-folio, sur papier à en-tête
imprimée du ministère des Finances.
On y joint une autre L.A.S. «
J Humann
», adressée à Madame L. Brau.
50/80 €
P
ROVENANCE
: ancienne collection A. Juncker, portant le n° d’inventaire 1031.
229.
HYDE DE NEUVILLE Jean-Guillaume Baron (1776-1857)
, ministre de la Marine, ambassadeur
de France à Lisbonne et aux Etats-Unis, attaché et ami intime de Chateaubriand.
L.S. «
Hyde de Neuville
», adressée à Monsieur Michelot, ancien officier du génie, Paris, 14 juillet 1828, 1 p., in-
folio, sur papier à en-tête imprimée du ministère de la Marine et des Colonies.
On y joint deux autres L.A.S. du même auteur, adressées à Monsieur Auguste Michelot, Paris, 29 février 1840 et
17 octobre 1843, 1 p., et 2 ½ p., in-4, avec adresse.
50/80 €
Lettre informant l’admission du médecin Pariset (Etienne, de l’Institut (1770-1847), célèbre par son dévouement lors de l’épidémie de fièvre
jaune de Barcelone en 1821), accompagnant M. Rivière en Egypte, dont le bâtiment prendra le départ à Alexandrie. – Belle et intéressante
lettre dans laquelle il recommande un ancien capitaine de cavalerie Stanislas Hrzemieczni, brave polonais méritant tout l’intérêt de son
correspondant : « …
qui sait mieux que moi combien l‘exil pèse sur un noble cœur. Heureux qui n’a pas vu les rives étrangères. Heureux qui vit et meurt sous le toit
de ses pères…
»
229
bis
.
HYDE DE NEUVILLE Jean-Guillaume Baron (1776-1857).
Lot de deux importantes lettres autographes signées «
B(aron) Hyde de Neuville
», adressées au célèbre avocat André
Dupin dit « Dupin aîné » (1783-1865), l’une où il est question des Etats-Unis par rapport à la France, Versailles,
21 juillet 1825, 3 pp., in-4 ; la seconde relative à son rôle au Portugal lorsqu’il était ambassadeur de France à
Lisbonne, à en-tête du ministère de la Marine et des Colonies, 29 novembre 1828, 3 pp., in-8. Bon état, usures
du temps.
400/600 €
« […]
Quand on a vécu comme moi en Amérique, on ne peut concevoir comment on va si vite dans ce pays qui ne fait que de naître et si lentement dans cette vieille
Europe, pays des arts, du luxe et de la fortune. Tous les grands travaux commencés pendant mon séjour aux Etats-Unis sont achevés, et on peut aller de New-York à la
Nouvelle-Orléans par de bons canaux ou de belles routes. Il est vrai que le gouvernement ne s’en mêle point ou peu, nous voulons trop faire, trop administrer en France et
rien ne finit…
»
« […]
Mon affaire de Portugal est mon plus beau titre à l’estime. J’ai sauvé un roi et un père, j’ai donné à la France une prépondérance qu’il était facile de conserver, à
la suite du 30 avril j’ai obtenu un ministère vraiment portugais, celui qui nous convenait, j’ai fait démontrer la vraie France, rendu aux Français ce qu’on avait séquestré
sur eux depuis 7 années, j’ai fait annuler des ordres d’exil et jugement de condamnation rendus contre des Français, j’ai fait renvoyer de Lisbonne Lord Beresford, le
gouvernement britannique a destitué son ministre pour s’être fait au 30 avril mon aide de camp, l’accusation était injuste mais enfin Londres ne pensait pas que le
Portugal lui eut été livré. Bref les gazettes ministérielles anglaises ont été justes envers moi car alors elles ne cessèrent pas de m’accabler d’injures et de parler de mon
influence à Lisbonne…
»
230.
LA BOURDONNAIS Régis comte de (1767-1839)
, ministre de l’Intérieur sous le roi Louis XVIII.
L.A.S. «
La Bourdonnais
», adressée à Monseigneur l’Archevêque de Paris, Paris, 24 octobre 1825, 2 ½ p., in-folio,
sur papier à en-tête imprimée du ministère de l’Intérieur.
50/80 €
Lettre de remerciements de la confiance accordée par l’archevêque à l’auteur.