Sélection Bibliorare
Magini (Giovanni Antonio). De astrologica ratione, ac usu dierum Criticorum, seu Decretoriorum, [^] Opus ad ephemeridum supplementum nunc primo editum & libris duobus distinctum. Francfort, Typis Wolffgangi Richteri, sumptibus Joannis Theobaldi....... (PRÉCIEUX EXEMPLAIRE AYANT APPARTENU AU POÈTE et PHILOSOPHE FRANCISCO GOMEZ DE QUEVEDO Y VILLEGAS (1580- 1645) .............
Estimation :
5000 / 6000
Adjudication :
Invendu
Description
Schônvvetteri, 1608. In-4, vélin souple (Reliure de l'époque). Caillet, III, n°6964. — Dorbon, n°2842. Seconde édition de ce très rare ouvrage de l'astrologue et mathématicien padouan Giovanni Antonio Magini (1555- 1617), ornée d'un titre-frontispice gravé sur cuivre par G. Keller, avec les portraits en pied de Pline et Aristote, de 2 figures astronomiques et de divers figures de calculs dans le texte. PRÉCIEUX EXEMPLAIRE AYANT APPARTENU AU POÈTE ET PHILOSOPHE FRANCISCO GOMEZ DE QUEVEDO Y VILLEGAS (1580- 1645), l'une des figures les plus importantes de la littérature du Siècle d'or espagnol. Il porte sa signature autographe à l'encre sur le titre et contient une annotation à la plume dans la marge de la page 166, probablement de sa main. La bibliothèque de Quevedo comportait entre 2000 et 5000 volumes, qui, à sa mort furent dispersés ou perdus. Parmi les nombreux articles qui ont été écrits sur sa collection, signalons celui de Felipe Maldonado, pionnier sur le sujet, Algunos datos sobre la composicion y dispersion de la bibioteca de Quevedo (1975), et celui d'Isabel Pérez Cuenca, Las lecturas de Quevedo a la luz de algunos impresos de su biblioteca (2003). Récemment, dans un article paru en 2012 dans la revue Manuscrt.Cao (n°12), intitulé Apendice a nuevas aportaciones a la biblioteca de Francisco de Quevedo, Carlos Fernandez Gonzalez et Sofia Simôes recensaient dans les institutions publiques 59 livres ayant appartenu au poète, dont la majeure partie à la Bibliothèque nationale d'Espagne. Très fortes brunissures uniformes, inhérentes au papier allemand du XVII e siècle. Manquent les gardes.
