Sélection Bibliorare
[PROVENCE] FLOQUET (Jean-André). - Canal de Provence, ou canal d’Aix et de Marseille. Son Utilité, sa Possibilité, sa Nature : Avantages qui en reviendront au Roy, à la Provence & à la Compagnie des Propriétaires (…) Paris, P. G. Le...
Estimation :
300 - 350 €
Description
Mercier, 1750.
In-8, (3)-170p. [2p. manuscrite à l’angle reprenant le détail des grandes parties
de l’ouvrage.] Plein veau. Dos à nerfs orné, tranches brique. Illustré d’une belle carte dépliante gravée sur cuivre représentant le canal.
►Rare Édition Originale.
J.-A. Floquet présente la nature et l’utilité de cet ambitieux projet hydraulique prévoyant de dévier les eaux de la Durance pour alimenter Aix et Marseille. Soutenu par Louis XV et financé par de puissants investisseurs – le Duc de Richelieu, en particulier, à qui l’édition est dédiée. –
Les travaux débutèrent en 1752 mais le projet s’avéra irréalisable en raison du coût ruineux des travaux : l’entreprise fit faillite après quatre kilomètres réalisés, et Floquet fut embastillé.
Il fallut encore attendre deux siècles pour que le projet du canal de Provence devienne réalité.
Bon état, quelques annotations à l’encre, mors fendus.
In-8, (3)-170p. [2p. manuscrite à l’angle reprenant le détail des grandes parties
de l’ouvrage.] Plein veau. Dos à nerfs orné, tranches brique. Illustré d’une belle carte dépliante gravée sur cuivre représentant le canal.
►Rare Édition Originale.
J.-A. Floquet présente la nature et l’utilité de cet ambitieux projet hydraulique prévoyant de dévier les eaux de la Durance pour alimenter Aix et Marseille. Soutenu par Louis XV et financé par de puissants investisseurs – le Duc de Richelieu, en particulier, à qui l’édition est dédiée. –
Les travaux débutèrent en 1752 mais le projet s’avéra irréalisable en raison du coût ruineux des travaux : l’entreprise fit faillite après quatre kilomètres réalisés, et Floquet fut embastillé.
Il fallut encore attendre deux siècles pour que le projet du canal de Provence devienne réalité.
Bon état, quelques annotations à l’encre, mors fendus.
