317 319 148 317. MARIE DE BLOIS (1345-1404) épouse de Louis 1er d’ANJOU, Roi de Sicile et Jérusalem (1339-1384). Charte en son nom, Marseille 12 mai 1399 ; signatures de chancellerie ; vélin oblong in-4 (légères mouillures) ; en latin. 500 / 700 € Comme comtesse de Provence et de Forcalquier, et au nom de son fils Louis II d’Anjou, elle fait concession des droits de cavalcade pour dix ans sur les lieux de Daluis, Puget-Rostang, Castellet, Sausses, en faveur de Pons d’Alais. 318. MARIE-ANTOINETTE (1755-1793). 2 imprimés : – Copie figurée du Testament de la Reine… (Paris, Audot, 1816). – Supplément à la Notice historique sur le Testament de la Reine suivi d’anecdotes inédites… (Paris, Audot, 1817). 2 plaquettes in-4 sous couvertures jaunes impr. 400 / 500 € La première plaquette contient le fac-similé du testament. La seconde comprend 2 planches gravées représentant le cachot de la Conciergerie (planche coloriée) et le cénotaphe expiatoire élevé à la Conciergerie. On joint le Fac similé du Testament de Louis XVI… (Paris, Gueffier, Audot, Plancher, Picquet, [1816]), avec la notice historique, le portrait gravé et le fac-similé des signatures de la Reine, Mme Élisabeth et Louis XVII ; un fac-similé volant de ce testament ; un manuscrit sur la confession de Louis XVI par l’abbé Edgeworth ; plus le fac-similé d’un interrogatoire de la Reine avec reproduction d’un billet écrit par piqures d’épingle. 319. MARIE-THÉRÈSE de BOURBON (1772-1807) Impératrice du Saint-Empire, femme de François Ier d’Autriche. L.A.S., Lustembourg 12 juillet 1806, à sa mère Marie-Caroline, Reine de Naples ; 2 pages in-4 ; en français. 300 / 400 € Elle espère que ses lettres parviendront à sa mère par une nouvelle voie, en les faisant parvenir à « notre Gouverneur de Trieste » qui les adresse au comte Alphonse de Ludevere: « une juste méfiance que j’avoue avoir apresent des hommes, m’oblige pardonnez le à oser vous demander si je peux me fier de cette personne ». Elle la remercie « pour le superbe encre de la Chine qui m’a fait un bien grand plaisir, m’étant très necessaire »…
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