335 332 154 332. NAPOLÉON III (1808-1873). P.A.S. ; 1 page in-4. 200 / 300 € Notes préparatoires à son Histoire de Jules César (1865)… « Faire un tableau des colonies Romaines ou latines établies par époques et rechercher les noms modernes. […] Faire un tableau des peuples admis à différents titres dans les communautés Romaines»… On joint 2 cartons d’invitation pour un revue (1867) et l’ouverture de la session législative (1859). 333. Famille de NOAILLES. 8 L.S. ou P.S., dont 2 L.A.S., 1678-1761 ; formats divers. 400 / 500 € Louise Boyer, duchesse de Noailles (Paris 1678). – Anne-Jules maréchal duc de Noailles (camp devant Gironne 29 juin 1694, à M. de Villevieille). – Louis-Antoine cardinal de Noailles (l.a.s., dimanche des Rameaux 1705, dénonçant les propositions dangereuses de la Métaphysique de Dagoumer). – Louis duc d’Ayen (Versailles 1761, au chevalier de Vaudreuil). – Philippe comte de Noailles (l.a.s. au chevalier Fraguier à Arras). Adrien-Maurice maréchal duc de Noailles : – Haguenau 29 septembre 1743, sur la nomination d’un lieutenant à Perpignan ; – Versailles 6 février 1745 (à son en-tête et ses armes), envoi d’un soldat aux Invalides ; – Paris 12 novembre 1769, commission de lieutenant des maréchaux de France dans l’évêché de Rennes. On joint 2 lettres de nouvelles à la main, 16 et 30 octobre 1734, parlant du maréchal de Noailles. 334. Marguerite-Louise d’ORLÉANS (1645-1721) fille de Gaston d’Orléans, elle épousa de Cosme III de Médicis, grand-duc de Toscane. L.A.S., « Piquepuce » (Picpus) 11 décembre ; 2 pages in-8 (petit trou par corrosion d’encre). 120 / 150 € Elle envoie un mémoire «pour une afaire que des planque mon fermier a devan vous et qui par consequan devien la miene je vous prie de luy estre favorable et je nen doute pas estan bien informé de vostre droiture et de vostre esquité »… 335. Philippe, duc d’ORLÉANS (16401701) fils de Louis XIII, frère de Louis XIV, père du Régent. P.S., Paris 1er avril 1694 ; contresignée par Doublet ; vélin oblong in-fol. 200 / 300 € Don au S. de La Saigne, frère du S. de Beaulieu, premier valet de chambre du duc, «des pierres provenans des demolitions des murailles d’Aigurande ».
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