64 27 63. Eugène VIOLLET-LE-DUC (1814-1879). L.A.S., 14 août 1863, [à Aimé Millet] ; 1 page in-8. 250 / 300 € Au sujet d’une cuve, dont on lui a envoyé un estampage: «une cuve du XIIIe siècle travail italien. Ces sortes de cuves cylindriques vases servaient à plusieurs usages. On y mettait le vin à rafraichir par exemple. Il y en a une de ce genre à l’église de Lombez dont j’ai donné le dessin dans le mobilier [Dictionnaire raisonné du mobilier français…] qui sert de cuve baptismale. C’est un objet qu’il ne faudrait pas laisser perdre et si ton ami ne prétend pas le garder il devrait le vendre au Musée de Cluny »… Il ajoute : « Le Vercingétorix de Clermont n’est qu’un canard ». La lettre a été transmise par Aimé Millet à son ami Henri Dumesnil, avec une note a.s. au verso. Une note jointe indique qu’il s’agit d’une coupe en bronze trouvée à Puiseaux. On joint 2 l.a.s. adressées à Dumesnil par Achille Oudinot (1869, au sujet de Corot) et par Constant Troyon (1860). 64. Adolphe WILLETTE (1857-1926). 2 dessins originaux, signés, avec légendes autographes ; environ 27x19,5cm chaque au crayon bleu (trace de scotch sans abîmer le 1er dessin). 200 / 300 € Dessin patriotique avec la légende : « Alleluia ! C’est le sang des anciens qui fera éclore la victoire » (signé W). Marianne et Henri IV, publicité pour le Quinquina Dubonnet. On joint une gravure, La Prière, signée au crayon. 65. Ossip ZADKINE (1890-1967) L.A.S., [Paris] 35 rue Rousselet [vers 1920], à Christian Zervos ; 1 page et demie in8. 150 / 200 € Il envoie « tout un lot de photographies de mes sculptures parmi lesquelles je vous prie de choisir celles qui vous plaisent le plus. [...] Je pense que chaque œuvre est bien à moi et suis persuadé que vous serez plus competant d’en choisir les deux plus caractéristiques ». Il tient à sa disposition un album de toutes ses œuvres...
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