71 72 30 70. [Serge GAINSBOURG (1928-1991)]. Dossier. 200 / 300 € Photographie couleur tirage argentique (14 x 9,5 cm) représentant Gainsbourg et la chanteuse Jeanne Mas lors de la troisième Nuit des Antennes d’Or à Marseille (années 1980). Tirage original du photographe Gérard Bottino avec au dos une dédicace du photographe à Gainsbourg. On joint un document dactylographié (page in-4) pour une publicité sur les Gitanes blondes avec des corrections manuscrites; 4 photos couleurs par le photographe Angeli, de Gainsbourg et sa compagne Bambou à la naissance de leur fils Lucien (janvier 1986) ; et 7 diapositives du même sujet ; ainsi qu’une enveloppe à en-tête de la NRF à l’adresse de Gainsbourg rue de Verneuil. 72. Désiré-Émile INGHELBRECHT (1880-1965). 5 L.A.S., 1912-1923, à son beau-père Alexandre Steinlen ; 18 pages in-8, 3 enveloppes. 400 / 500 € Vienne, février 1912 : il évoque longuement Diaghilev et Pierre Monteux : « J’ai dit à Diaghilew que je comptais absolument sur le retour de Monteux pour le 25, ce bougre de slave ne m’a pas fixé, naturellement […] il est un peu beaucoup assommant le Serge Pavlovitch avec ses quotidiennes critiques, il a la manie de l’observation et je crois que Monteux laisse dire et n’en souffre pas mais moi, vous savez n’est-ce-pas, ce n’est pas du tout la même chose »… Monteux, qu’il remplace, va prendre sa suite, et lui va diriger la saison de Londres et espère diriger à Paris. – Lugano 13 juillet 1913 : avec sa femme, ils ont quitté Bâle et s’installent au Palace Hotel à Lugano ; ils font un tour sur le lac et visitent la ville « qui parait très joliment italienne ». – De retour à Jouyla-Fontaine (5 août 1913), il se plaint que Gabriel Astruc lui refuse toute augmentation, et il exigera « par contrat 15 jours de liberté pour la Russie, les représentations de la Nursery et la possibilité de faire, si on me les offre, les représentations Rubinstein »… – 15.IX.1923, à son « bon Père aimé », qu’il aimerait voir ; il « serre la main à la brave Massa »… On joint 4 l.a.s. (une incomplète) de sa femme Colette Steinlen à son père. 71. Charles GOUNOD (1818-1893). P.A.S. musicale, Rome 15 février 1869 ; sur 1 page oblong in-4. 300 / 400 € Page d’album pour le musicien Émile Pessard (1843-1917). 5 mesures pour piano en mi bémol majeur à 4/4, avec dédicace: «à mon jeune et aimable ami Émile Pessard Ch. Gounod Rome 15 fév. /69». Au-dessous, 5 mesures d’une valse pour piano par Eugène Wintzweiller ; et au verso, 13 mesures pour piano « Final de la 1ère Sonate », Allegro, par Alfred Rabuteau. On joint 3 L.A.S. de Gounod : 27 mai 1886, à l’abbé Mangot, curé de Montrichard ; 15 décembre 1888, à Paul-André Franchomme ; à son ami Cabarrus.
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