EVE ARCHITECTURE

p 49 p 48 120. Hector d’ESPOUY et Georges SEURE, Monuments antiques relevés et restaurés par les architectes pensionnaires de l’Académie de France à Rome. Paris, Massin, [1910-1912]. 4 vol. in-folio : [vol.1] faux-titre, titre, 19 p., 65 pl. non num. comptant pour 83 (nombreuses pl. doubles ou triples) ; [vol.2] faux-titre, titre, 13 p., 1 f. blanc, 70 pl. num. 84-177 (nombreuses pl. doubles ou triples) ; [vol.3] faux-titre, titre, 14 p., 1 f. blanc, 72 pl. num. 178-280 (nombreuses pl. doubles ou triples) ; [supplément] faux-titre, titre, 9 p., 1 f., 35 pl. num. 1-51 (nombreuses pl. doubles ou triples). Très bel état intérieur. Portefeuilles pleine percaline bordeaux de l’éditeur, premiers plats frappés du titre et d’une tête de Minerve. Excellent état pour les 3 premiers volumes, un peu passé pour le supplément. Publications des travaux de relevés archéologiques des architectes pensionnaires de la Villa Médicis. 500 – 700 € 121. Hector d’ESPOUY, Fragments d’architecture antique [du Moyen Age et de la Renaissance] d’après les relevés et restaurations des anciens pensionnaires de l’Académie de France à Rome. Paris, Massin, s.d. [vers 1915, mention de la date du 7 décembre 1905 en référence au Copyright étasunien]. 4 vol. in-folio : [vol. 1] : 11 p. - 100 pl. ; vol. 2 : 4 f. - 100 pl ; [vol. 3] : 2 f. 4 p. -100 pl. ; [vol. 4] : 2 f. - 3 p. 100 pl. Parfait état intérieur. Portefeuilles d’origine rouge un peu frottés, petites tâches et accident, quelques lacets manquent. Très bon exemplaire 300 – 400 € 122. Louis Pierre HAUDEBOURT, Le Laurentin, maison de campagne de Pline le Jeune, restituée d’après la description de Pline, Paris, 1838. 1 vol. in-4° (265 X 180 mm) : viii-237 p. illustrées de vignettes et 2 pl. Quelques rousseurs. Reliure en demi-chagrin bleu-nuit d’époque. Ouvrage à rapprocher du n° 113 200 – 300 € 123. Charles Edouard ISABELLE, Les Édifices circulaires et les dômes, classés par ordre chronologique et considérés sous le rapport de leur disposition, de leur construction et de leur décoration. Paris, Firmin Didot frères, [1843] 1855. 1 vol. in-plano : une couverture de livraison remontée sur la page de garde, faux-titre, titre, iij p - 152 p., 3 fig., et 82 pl. num. 1-78, dont 6 pl. bis (3 bis, 7 bis, 14 bis, 17 bis, 23 bis, 73 bis) et 3 pl. comptant double (pl. 40-41, 54-55 et 59-60), soit 72 pl. sur acier, 3 lithographies et 7 chromolithographies (pl. 3, 17, 36, 37, 51, 52, 63, Engelmann et Graf). Cette monographie au thème original a paru de 1843 à 1855). Notes marginales en allemand dans le texte au crayon, rares rousseurs dans le texte. La plupart des planches en très bon état, quelques-unes néanmoins avec des tâches et rousseurs. Restaurations grossières aux pl. 71-73 bis. Ouvrage remonté dans un portefeuille moderne, demimaroquin rouge, dos de la reliure allemande d’origine conservé Provenance : bibliothèque de l’association des architectes de Berlin (Architekten-Verein, cachet et cachet de sortie) : facture conservée de la vente par l’association des architectes en 1909 300 – 400 € 120 121 122 123 117. Jean Nicolas Louis DURAND, Recueil et parallèle des édifices en tout genre anciens et modernes, remarquables par leur beauté..., Paris, l’auteur, an IX [1801]. 1 vol. in-folio : titre, table, 90 pl. pliées en deux et montées sur onglet. Petite déchirure marginale sans manque restaurée à la page de titre et déchirure sans manque réparée à la dernière pl. Reliure demi-veau brun à coin d’époque restaurée, coiffes et deux coins remplacés, tranches vertes. Travail pionnier exceptionnel d’architecture comparée, l’auteur ayant réuni en un seul ouvrage et sur les mêmes planches les œuvres architecturales les plus marquantes à son sens. Loin de se cantonner aux seuls monuments, il décrit ainsi des amphithéâtres, des aqueducs, arcs de triomphe, bains, bibliothèques, caravansérails, catacombes mais aussi châteaux, cirques, dômes, fontaines, mosquées, pagodes, palais, prisons, temples, ports, ponts. Jean-Nicolas-Louis Durand débuta chez Panseron, puis dans l’atelier Boullée dont il fut le légataire et, surtout, il fut le premier professeur l’architecture à l’Ecole Polytechnique, de 1794 à 1820. L‘ouvrage, entièrement gravé par les meilleurs artistes du temps, coûtait à l’époque une véritable fortune. 800 – 1200 € 118. Jean Nicolas Louis DURAND, Précis des leçons d’architecture données à l’école Polytechnique. Première [second] volume. Paris l’auteur, 1808-1809 2 vol. in-4° : faux-titre, titre, viii-108 p., 22 pl. ; faux-titre, titre, 104 p., 32 pl. Très bon état, quelques rares tousseurs. Reliure demi-veau havane d’époque, étiquettes brunes. Coiffes usées. Bon exemplaire de la seconde édition de ce cours d’architecture destiné aux ingénieurs. Le livre débute par des enseignements généraux (qualités des matériaux, emploi, formes et proportions) et enchaîne sur la composition (combinaison des éléments, parties des édifices, ensemble des édifices). Il développe ensuite plusieurs chapitres dans lesquels les édifices sont classés par types : édifices publics (temples, palais, collèges, bibliothèques, musées, observatoires, phares, halles et marchés, théâtres, hôpitaux, prisons, casernes, etc.) ou édifices particuliers (maisons de ville, appartements, cuisines, écuries, remises, fermes, hôtellerie, etc.). Provenance : ex-libris manuscrits sur les pages de titre « Brigade 5. Le Marcis » (Jean Marin Le Marcis, X 1810, 1790-1854) 400 – 600 € 119. Jean Nicolas Louis DURAND, Partie graphique des cours d’architecture, Paris, l’auteur, 1821 1 vol. in-4° : faux-titre, portrait, titre, 35 p. et 34 pl. doubles. Très bon état. Reliure demi-veau vert sombre très orné, frappé sur les plats de médaillons « prix de l’École des arts de Toulouse ». Très bon état pour cet exemplaire de dimensions exceptionnelles Provenance : Médaillon « prix de l’École des arts de Toulouse » sur les plats et étiquette sur le contreplat supérieur datée du 28 août 1836 : à l’élève Jean Marie Fiquet, signée par Arnoux (maire de Toulouse), André Joseph Jules Mondot de Lagorce (1791-1870, ingénieur des Ponts et chaussées et directeur de l’École des beauxarts de Toulouse) et Jean Antoine Raynaud (professeur et lui-même élève de Charles Percier) ; 250 – 300 € 117 118 119

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