Page 96 - untitled

Version HTML de base

94
279*.
Jean-François MILLET
(1814-1875) peintre. L.A.S., Paris 12 juin 1874, à Théophile Silvestre à Valmondois ; 1 page
in-8, enveloppe (petit trou).
1.000/1.200
La lettre qu’il lui a adressée à Barbizon vient de lui parvenir, et il accepte son invitation : « Nous serons ma femme et moi
demain soir à 6 heures chez vous rue Lafayette. Je vous écris aussi à Valmondois »… Il se réjouit du rétablissement de Mme
Silvestre.
Reproduction page ci-contre
280.
Joan MIRÓ
(1893-1983). Dédicace autographe signée sur une couverture avec impression en couleurs de la revue
Derrière le miroir
(1956) ; 37 x 28 cm.
300/400
Belle couverture dessinée par Miró pour un numéro Miró/Artigas, dédicacée par les deux artistes : « Avec le meilleur
souvenir et en pensant à la Radio 1948 pour Yvonne Desseux de son ami Artigas » et « avec toute mon amitié Miró ».
On joint une page illustrée de
Derrière le miroir
avec dédicace a.s. de Wifredo Lam à la même, 1953.
Reproduction page ci-contre
281.
Louis MONNERON
(1752-1805) négociant, député des Indes orientales à l’Assemblée constituante. L.A.S.,
Colombo 18 [décembre 1780 ?], au marquis de Castries, ministre de la Marine ; 1 page et demie in-fol. (un bord
rogné avec perte de qqs fins de lignes).
100/150
Sur les mouvements des Anglais et la rébellion menée par Haider Ali. « Tranquebar a laissée la flotte angloise sous
[le] commandement de l’Amiral Hughes deva[nt] Nagapatuain protegeant l’embarquement [des] vivres et des effets pris dans
cette place »… Il donne des nouvelles de vaisseaux, et termine par celles du camp d’Haider : « Il paroit que ce nabab temporise
jusqu’à l’arrivée de nos forces, il se tient constamment sur la défensive. Ses dispositions sont si bien faites que toutes les
tentatives du général Coote pour en venir à un engagement décisif sont sans succès »…
282.
Pierre deMONTESQUIOU, comte d’ARTAGNAN
(1645-1725) maréchal de France. P.A.S. comme « sous-lieutenant
aux gardes », Artaignan 7 octobre 1670 ; 1 page petit in-4.
800/1.000
Rare document concernant son oncle, le célèbre capitaine des mousquetaires. Il reconnaît avoir reçu mille livres
« que Monsieur le Commandeur Dauson mon cousin m’a fait servir à Paris [..] laquelle somme Madame Dartaignan ma mère
lui avoit remis en main pour les envoier à Monsieur Dartaignan Commandant les mousqueteres du roy aiant remis à ma ditte
mere les bulles de labaÿe d’Hartous [Arthous] »…
Reproduction page ci-contre
284