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CHATEAUBRIAND
François René de - [1768-
1848] - Ecrivain romantique, diplomate et homme politique
Passeport (1p grand in-fol avec grande vignette aux
Armes Royales) qu’il a signé de sa main en tant que
« Ambassadeur de Sa Majesté Très Chrétienne près Sa
Majesté Britannique », établi le 24 juin 1822 en faveur
de Thomas Wilkinson qui se rend de Londres à Calais.
Nombreuses signatures et cachets au dos attestant du
passage de Wilkinson en différents lieux. Joint : portrait
gravé.
500 / 700
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CHATEAUBRIAND
François René de
LAS, 1 ½ p in-4, Paris rue d’Enfer, 10 octobre 1826, à
une dame. « J’ai partagé tous vos regrets. J’ai appris la
perte que vous aviez faite lorsque j’étais plongé dans
toutes les incertitudes, agitations particulières à ma vie et
je n’ai point voulu vous importuner de ces consolations
communes et étrangères qui font plus de mal que de
bien ». Il recevra avec le plus grand plaisir son fils. Joint :
brochure publicitaire de l’éditeur Ladvocat pour les Œuvres
complètes de Chateaubriand (belle qualité d’impression
et de papier, avec deux portraits gravés hors texte de
Madame de Genlis)
500 / 700
230
CHATEAUBRIAND
François René de
LS, ½ p in-fol, Paris, 28 février 1823. Il s’occupe de faire
parvenir la lettre de son correspondant au Sr Gaimbaretta à
Novi via le Consul de France à Gênes. Joint : portrait gravé
et 2 cartes postales de son tombeau.
200 / 300
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CERCLE DE MADAME DE STAEL
-
Benjamin
CONSTANT
- [1767-1830] - Romancier et homme politique,
il entretint une liaison avec Madame de Staël
LAS, 1p in-8 plus page d’adresse avec marque et cachets
postaux, Montmorency, 7 novembre 1823, au libraire-
éditeur DIDOT. « La distribution de mon ouvrage dont je
copie le dernier livre me prouve qu’il m’est impossible de
ne faire que deux brochures de cette première partie qui
aura plus de 600 pages ». Il est donc forcé de revenir à
son idée de 3 livraisons. Il demande à ce qu’on ne tire le
prospectus qu’à son retour prochain à Paris.
100 / 200
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FEMMES DU CONSULAT ET DE L’EMPIRE
- Ensemble de
6 documents
a) Fanny de BEAUHARNAIS - [1737-1813] - Femme de
lettres, tante de Joséphine / LAS, affectueuse missive à
Mademoiselle de Cailhava (la fille du membre de l’Institut).
b) Madame CAMPAN - [1752-1822] - Educatrice,
directrice de la Maison d’Education de la Légion
d’Honneur / Charmant petit brevet gravé illustré signé de
sa main en 1816 : « Carte de contentement » de la Maison
Impériale Napoléon d’Ecouen.
c) Madame de GENLIS - [1746-1830] - Femme de
lettres / LA (1814) annonçant que sera donnée dans son
Salon une soirée de musique au profit des blessés français.
Joint portrait.
d) Fortunée HAMELIN - [1776-1851] - La fameuse égérie
de l’époque / LAS (1838) au maréchal de camp Bro à Alger
[Rare]
e) Marie-Anne LE NORMAND - [1772-
1843] - Nécromancienne et cartomancienne [Dans son
bureau de voyance durant la Révolution, elle reçut Marat,
Robespierre et Saint-Just. C’est l’Impératrice Joséphine
qui la mise à la mode. Elle fut consultée par Louis XVIII,
le Tsar Alexandre et bien d’autres souverains. Elle joua un
certain rôle politique et fut accusée d’espionnage, avec un
procès pour sorcellerie] / LAS (1820) : se recommandant
de M. Tallien, elle prie son correspondant de faire placer la
réponse à un article paru sur elle dans un prochain numéro
du « Constitutionnel ». [Peu commun]
f) Claire de REMUSAT - [1780-1821] - Femme de lettres
amie de Joséphine / LAS
600 / 800
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CERCLE DE MADAME RECAMIER
- Pierre-Simon
BALLANCHE
- [1776-1847] - Ecrivain et philosophe
de l’Académie Fr., ami de Madame Récamier et de
Chateaubriand
a) LAS, 1p in-8 plus page d’adresse (lettre portée), Paris, un
3 mai, à Monsieur Renouard au Ministère de la Justice. Il lui
demande si son protégé a obtenu sa grâce. Des assurances
positives ont été données à ce sujet à la Duchesse de
Broglie et à Augustin Périer. Il précise que les formalités
nécessaires ont été faites à Bicêtre.
b) LAS, 1p in-8 plus page d’adresse avec affranchissement,
sl, 30 septembre 1830, à M. A. Denis à Hyères. Il va
s’empresser de lui faire parvenir les 500 fr qu’il a reçus de
M. Ampère et qui lui étaient dus. Il parle du père et du frère
de son correspondant.
150 / 200
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