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APOLLINAIRE Guillaume
(1880-1918).
Lettre autographe signée, mercredi [1918], à Paul Dreyfus ; 1 page
in-12, adresse (carte pneumatique).
Il est désolé de ne pouvoir déjeuner chez son ami vendredi. “Je
viens de le pneumatiser également à Cocteau. Puisque vous avez
l’occasion de le voir entendez-vous, si vous voulez-bien, avec lui pour
un autre déjeuner, où vous voudrez. J’espère vous voir ces jours-ci
à l’hôpital où j’irai un matin. Je serai libre, ou plutôt je suis libre à
déjeuner toute la semaine prochaine. Amitiés à Duvernois, Fournery
et mes mains dans les vôtres”…
500 / 700
€
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BARBEY D’AUREVILLY Jules
(1808-1889).
Lettre autographe signée, Mercredi, à Mlle Marie Froment ; 1 page
in-8 à l’encre rouge, à la devise gravée
Never more
.
“
La forme la plus discrète
que vous avez cherchée, heureusement sans
la trouver, ne vaut pas un peu de naïveté, et vos vingt
brouillons de
lettres
valent vingt fois mieux qu’un autographe. C’est pour cela,
Mademoiselle, que je vous envoie celui-ci”… Et au bout d’une flèche
partant de sa signature : “et non pas Barbet s’il vous plaît”.
On joint une lettre autographe signée de Frédéric Masson à Barbey
d’Aurevilly, 7 avril 1886 (1 page et demie in-8 à en-tête de
Goupil
et
la revue
Les Lettres et les Arts
), lui disant son admiration, et évoquant
la publication de ses “beaux vers” dans la revue : “je voudrais bien
que Rops que j’ai choisi pour les illustrer se pressât quelque peu. Cet
homme de génie est rebelle aux Lettres”…
300 / 400
€
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