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29 LES FRÈRES LEGENDUM 1932
Un manuscrit autographe 4 500 / 5 500
Manuscrit autographe,
sans lieu ni date (1932) 9 pages ½, 20/31 cm, 2 petits croquis à la plume sur la 1° page. Ratures et corrections au crayon, manque la
fin.
Nouvelle intitulée « Les frères Legendum », parue dans la revue Image du 27 mai 1932, puis publiée dans « La fille du shérif » en 1987.
Ce manuscrit comprend de nombreuses variantes par rapport à l’édition : il a subi des coupures dont une d’une page entière. Certaines tournures de phrases
sont différentes, quelques dialogues ne sont pas dans le même ordre. Certains alinéas ne sont pas marqués. La dernière page est écrite d’une écriture très
fine difficilement lisible, il manque quelques paragraphes de la fin.
Amusante nouvelle pleine d’humour et d’ironie sur l’avarice de deux frères et la vengeance malheureuse du secrétaire.
30 DENISE
Ce roman inachevé, retrouvé après le décès de Marcel Aymé, se compose d’un cahier complet par rapport à l’édition et de 2 fragments
de manuscrits, il a été publié dans le cahier Marcel Aymé N°13 et 14, en 1997.
Un manuscrit autographe 3 500 / 4 500
- Manuscrit autographe,
sans lieu ni date, 32 pages 1/2 in-4°, sur un cahier quadrillé à spirales, quelques rares ratures et corrections, la page 17 est entiè-
rement rayée et non reprise dans l’édition
Ce manuscrit est identique à la version définitive éditée dans la pléiade.
-
Fragments de manuscrits autographes,
5 pages 21/27 cm très peu de corrections correspondant avec de nombreuses variantes aux pages 1660 à 1668
de la pléiade, 1/2p. 21/27 cm relative à la description de ses parents (p.1674,1675) et 2 petits fragments non repris dans l’édition.
- Fragment de manuscrit autographe :
2 pages 1/2, 21/31 cm, quelques ratures et corrections : manuscrit plus proche de l’édition que le précédent, mais
comportant encore de nombreuses variantes et correspondant aux pages 1659 à 1664.
Jean Léon Verheuven raconte l’histoire de Denise, à son ami qui est cloué sur un lit après un accident.
31 LE CENTENIER DE LA MISÉRICORDE
Un manuscrit autographe 4 500 / 5 500
Manuscrit autographe signé,
adresse autographe « 9 rue du square Carpeaux 18° » sans date, 18 pages 21/31 cm, signé également avec adresse autographe
en page de titre. Cette nouvelle semble inédite.
Curieuse nouvelle abordant le thème religieux à l’époque de l’empire romain chez un centurion lors d’une bataille contre les barbares dans la Marne.
PRIÈRES D’INSÉRER
32 LE MOULIN DE LA SOURDINE 1936
Un manuscrit autographe 1 800 / 2 200
Manuscrit autographe signé
de ses initiales, septembre 1936, 1 page in-4°. Quelques ratures ; vignette rose collée en haut de la page, avec les coordonnées
de la NRF. En bas de page une seconde vignette collée comprend la liste des ouvrages de Marcel Aymé déjà parus. Quelques ratures. Quelques ajouts d’une
autre main.
Prière d’insérer pour
Le Moulin de la Sourdine.
Marcel Aymé fait le résumé de son livre : « Dans une petite ville, un homme fortuné, affable, intelligent, et dépourvu de toute espèce de satanisme, assassine
sa servante pour profiter de l’occasion qui lui est offerte de commettre un crime avec la quasi certitude de l’impunité. Voilà l’histoire telle qu’elle devrait être,
mais j’ai eu la faiblesse de rendre apparentes certaines obsessions assez troubles de cet excellent homme…l’affaire se dénoue sur la Sourdine qui est une
petite rivière froide…cherchant un titre après avoir écrit mon livre je me suis laissé tenter par « Le Moulin de la Sourdine ». Le malheur était qu’il n’y eut point
de moulin dans mon roman…j’ai cru pouvoir passer outre à mes scrupules… ».
Le Moulin de la Sourdine a été écrit de l’automne 1935 au printemps 1936, le roman est d’abord publié en préoriginale en quinze épisodes dans le journal
Marianne du 29 avril au 5 août 1936, puis chez Gallimard dans la collection blanche en juillet 1936.