41 ROBIDA. Autour de Compiègne en Août 1914. [Paris, D'Alignan, 1919]. In-folio, en feuilles, couverture, chemise
de l'éditeur à lacets.
600/800
€
Premier tirage de cette suite de 7 planches gravées à l'eau-forte, numérotées et signées au crayon. Celles-ci sont
accompagnées d'un texte imprimé sur un bi-feuillet, orné d'une vignette gravée sur bois.
Une des eaux-fortes a été reprise pour illustrer le premier plat de la couverture.
Sur la planche intitulée
Les Fugitifs
, Robida s'est représenté assis au milieu de sa famille, fuyant Compiègne en août
1914 :
À la déclaration de guerre, en août 1914,
[Robida]
se trouve à Compiègne chez son frère. Sa belle-mère malade,
il est obligé de retarder son départ pour Paris. Mais lorsqu’il peut partir les trains sont supprimés, il ne reste plus que
la solution de prendre une péniche pour descendre le cours de l’Oise. Sans hésitation il embarque sa famille, mais, à
peine a-t-il le pied sur le bateau, il ne pense plus qu’à dessiner
(Brun, p. 58).
Tirage à 125 exemplaires ; celui-ci un des 100 sur hollande, après 25 sur japon.
38 ROBIDA. Les Assiégés de Compiègne. 1430.
Paris, H. Laurens
, [1906]. In-8 carré, percaline
framboise illustrée en noir, dos lisse, tranches lisses
(
Reliure de l'éditeur
).
50/60
€
Frontispice, 3 planches hors texte en couleurs et
114 compositions dans le texte.
Dos passé.
39 ROBIDA. À travers la France monumentale. [Paris,
E. Baudelot, 1924]. In-folio, en feuilles,
portefeuille demi-percaline verte avec coins, lacets
(
Reliure de l'éditeur
).
200/300
€
Rare suite de 20 (sur 25) lithographies.
Tirage à 125 exemplaires.
On joint une épreuve sur japon des
Défenses de
Carcassonne.
40 ROBIDA. Autoportrait. Dessin original au crayon,
rehaussé de lavis à l’encre noire ; encadré.
400/500
€
Le dessin est légendé :
Cette eau était du cidre !
Dimensions à vue : 140 x 95 mm.
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