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176. Lettre de Louis Ferdinand CELINE adressée le 13 Avril

1950 à une personne non identifiée et signée LF et Lucette. Deux pages in-4. Virulente lettre où il attaque son ami, Gégenne ( Gen Paul) ; « C’est une âme pourrie et malfai-sante. Un sale cloporte fort amusant certes, mais horrible-ment dangereux à fréquenter… de basse jalousie contre les faibles, jamais contre les forts » . Puis il parle de lui, « je n’ai aucun projet, sinon essayer de ne pas être assassiné, ruiné c’est fait à vie, indigné à vie ! » . 700/800

177. Lettre de Louis Ferdinand CELINE adressée le 25 mai

1950 à une personne non identifiée et signée de Copenhague L.F. Il lui donne des nouvelles de Lucette qui vient d’être opérée. Une page in-4. 700/800

178. Lettre de Marie CANAVAGGIA à Madame BONY. De

manière confidentielle et énigmatique elle évoque Louis Ferdinand CELINE et quelques commissions dont ils auraient besoin à Genève. 200/300

174. Réponse à l’exposé du parquet de la Cour de Justice du 11 Février 1950. Tirage dactylographié d’après

le stencil original. Celui non signé, certains exemplaires ayant été signés par Céline. 5 pages grand in-8. 200/300

175. LA de L.F. CELINE (peut-être à Gen Paul) au crayon sur papier hygiénique et adréssée au début de son exil au Danemark,

de l’infirmerie de la Vestre Faengsel ; « l’histoire des pots de beurre que tu avais toi bavard raconté à Karen a fait le tour de Copenhague à notre plus grand tort… Karen et sa copine avaient entrepris de baratiner Lucette pour qu’elle m’aban-donne rentre en France divorce pendant que je serai resté içi en cage !... Tu devines dans quel but. Hériter ! » . Une page in-8 (cette lettre fut reproduite dans le livre de Eric MAZET et Pierre PÉCASTAING, Images d’Exil). 800/1.000