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e
siècle
avec les eaux-fortes avant les numéros gravées d’après Marillier par les meilleurs artisans
de l’époque. Les Idylles sont illustrées d’1 titre-frontispice et 24 compositions «d’une
grâce ravissante» dit Cohen.
Enrichi
du tirage du frontispice en 1
er
état. Les Romances
(Paris, Ruault, 1776, [2]-xxvi-73-[1]-12 pp.) sont illustrées d’un frontispice titulaire et de
6 charmants hors texte. Ex. complet des 6 feuillets double face de musique gravée.
# Cohen 139 et 141-142.
322 —
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Londres, Paul Vaillant, 1740.
In-8° : [4]-xxviii-364, 111-[1] pp. (qqs rares pâles rouss.).
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Est.
:
250/ 300 €
Édition originale de la traduction
par David Durvand, membre de la Societa Regis.
Déjà âgé de plus de 60 ans, Cicéron (106-43 AJC) livre ses Académiques ou oeuvres
philosophiques écrites sous forme de dialogues, l’un à Catulle, l’autre à Lucullus. Précédé
d’une intéressante préface et de corrections/additions à l’édition, l’ouvrage contient
également l’ « Academia sive De judicio erga verum. Ex ipsis primis fontibus, opera Petri
Valentiae Zafrensis in extrema Baetica. Editio nova emendatior. Londini, Typis Bowyerianis,
1740». Les titres des deux parties sont ornés d’un écu avec réserve vierge.
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sur cuir brun).
323 —
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littéraire et politique. Par une société de gens de lettres].
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33 vol. in-8°; qqs pl. (inc. de 7 trimestres, qqs cachets de douane, qqs ff. lég. brunis, lég. us. ou pet. défauts).
5HO GH O¶pSRTXH EUDGHO SOHLQ SDSLHU URXJH GRV OLVVHV DYHF ¿OHWV WLWUHV HW PLOOpVLPHV GRUpV OpJ XV HW SHW
défauts).
Est.
:
800/ 1000 €
Années IV à XIII en
édition originale
. Revue fondée en 1794 par Jean-Baptiste, Horace Say
et Pierre-Louis de Guinguené, devenue à partir de la 13
e
année «La revue philosophique,
OLWWpUDLUH HW SROLWLTXHª (OOH HXW SRXU UpGDFWHXUV OHV SULQFLSDX[ VDYDQWV GH OD ¿Q GX
e
et
du début du 19
e
s., parmi lesquels Andrieux, Barbier, Auger et Dupont-de-Nemours, qui
signaient de leurs noms ou d’un pseudonyme. «Les rédacteurs de la Décade envisagent
leur intervention dans la continuité des Lumières et notamment de l’oeuvre de Condorcet.
Il s’agit pour eux de mettre les progrès intellectuels au service du progrès social et politique
[...]. Les nombreux professeurs qui collaborent à la Décade, se veulent les promoteurs
d’un humanisme républicain, soucieux de modération, mais ennemi de l’autoritarisme» (cfr
«Dictionnaire de la Révolution Française»).
La revue paraîtra sans interruption jusqu’en 1807.