Version HTML de base
Kunsten
² &RVWXPH 0RGH
/H )ROOHW EHOJH FRXUULHU GHV VDORQV -RXUQDO GHV 0RGHV
> (VPpUDOGD UHYXH /LWWpUDLUH $UWLVWLTXH HW )DVKLRQDEOH 0RGHV GH 3DULV @
[Bruxelles], Deprez et Parent [- Houdin], 1836 [- 1844].
11 vol. in-8°; très nombreuses illustrations (qqs numéros manquants, qqs pl. manquantes (?), qqs rouss., qqs
pp. lég. brunies, certaines plus fortement, cachets de poste, qqs déch. dont 1 renforcée, qqs coins manquants,
1 pl. et 1 p. part. déreliées).
Rel. de l’époque : demi-veau bleu à petits coins, plats de percaline à impression décorative, dos lisses avec roul.
dorées, tr. marbrées (lég. us., manque de percaline au plat inf. de l’année 1839, coins émoussés).
Est.
:
100/ 120 €
Contient approximativement 355 chromolithographies sur simples pages (certaines ne
correspondent pas aux numéros et à la description dans le texte ou étant reliées dans un
autre volume) représentant souvent 2 femmes ensembles ou une femme vue de face et de
GRV 8QH SODQFKH GpSOLDQWH HQ QRLU ¿JXUH GHV SDWURQV FRUVDJH PDQFKH FKDSHDX« /D
Esméralda, fondée en 1836 par le Prince Guillaume de Looz, fusionna en 1842 avec «Le
Follet belge» pour paraître sous le titre : «La Esméralda et le Follet Belge Réunis, Journal
des Salons. Mode, Littérature, Arts, Théâtre».
# pas dans Colas.
² &RVWXPH 0RGH
Journal des dames et des demoiselles [...].
Bruxelles, Bruylant-Christophe et Cie, 1858 [- 1870].
6 vol. gr. in-8°; illustrations (qqs pp. ou pl. brunies, rouss., qqs déch. avec ou sans manque, qqs pp. ou pl.
déreliées).
5HO GH O¶pSRTXH GHPL FKDJULQ EOHX QXLW SODWV GH SDSLHU PDUEUp GRV OLVVHV VHUWLV GH ¿OHWV HW URXO GRUpV WU
marbrées (rel. lég. frottées).
Est.
:
100/ 120 €
Illustré de nombreux in texto et de nombreuses gravures hors texte, la plupart rehaussées
à l’aquarelle, sur simples, doubles pages ou dépliantes, présentant toujours le nom de
O¶HQWUHSULVH FUpDWULFH /H WLWUH GH OD UHYXH YDULHUD DX ¿O GHV DQQpHV HW SUpVHQWHUD j SDUWLU GH
1854 un texte identique à celui du «Moniteur de la mode». Elle sera réunie en 1862 à la
«Brodeuse illustrée».
² &RVWXPH 0RGH
/D 0RGH LOOXVWUpH -RXUQDO GH OD IDPLOOH
3DULV )LUPLQ 'LGRW IUqUHV ¿OV HW &LH RFWREUH
>
GpFHPEUH @
8 vol. in-f°; nombreuses illustrations (qqs num. manquants à l’année 1863, qqs
claires rouss., déch. sans manque à 1 pl.).
Rel. de l’époque : demi-chagrin vert ou demi-veau noir à petits coins, plats
GH SDSLHU PDUEUp EOHX RX GH SDSLHU EUXQ FKDJULQp VHUWL G¶XQ ¿OHW GRUp GRV
ÀHXURQQpV GRUpV RX j IURLG WU MDVSpHV OpJ XV
Est.
:
400/ 500 €
Années éparses du plus important journal de mode du 19
e
s.
illustrées de plus de 400 gravures aquarellées avec pour la plupart
le nom des créatrices ou de la fabrique productrice (Mme Bréant-
Castel, Mme Deloffre, Maison Flandry, Mme Coussinet…), de plus de
30 grandes planches dépliantes de patrons et de nombreux in texto.
«La mode illustrée» était une revue hebdomadaire, parue de 1860 à
1937 et ayant réunie près de 40.000 abonnées, dont les articles
traitaient principalement de la façon de réaliser des vêtements et
accessoires utiles aux mères de familles et jeunes femmes.
&RODV
/LSSHUKHLGH
+DWLQ