Vente Publique du 11 octobre 2014
47
Garde-Medereiter, 3 suspensoirs de tambour prussien, un bandeau de colback de
hussard prussien.
Ensemble en très belle condition.
(Liste détaillée sur demande).
Ens. 13 pièces.
Est. 200 / 300
337.
[BELGIQUE].
Lot comprenant 2 plaques de shako (d’infanterie avec hausse-col
d’officier; grenadier garde civique), une plaque de chapska 4
ème
lancier;
[FRANCE].
3 plaques de shako (Monarchie de Juillet; 1
er
rég. génie Second
Empire; 45
ème
de ligne Second Empire);
[PAYS-BAS].
Giberne et plaque de shako
Schutterij à cheval
. [RUSSIE].
Paire d’épaulettes de Stabskapitan.
Ensemble en
très belle condition. (Liste détaillée sur demande). Ens. 8 pièces. Est. 200 /300
338.
[GRANDE-BRETAGNE].
Lot de 31 pièces ! : badges, broches, insignes de col,
hausse-col 1796-1830, épaulettes en cuivre c. 1845, etc.
Ensemble en très belle
condition.
(Liste détaillée sur demande). Est. 150 / 200
339.
[DIVERS].
4 réduction de sabretaches
(10 x 9 cm, en tissu, galon,…);
6 plaques de
shako, bonnet, etc.
Ensemble en bonne condition. Est. 100 /150
340.
[MORS].
10 mors.
En bonne condition. Est. 100 / 150
------
341.
[CANON. XVIe].
Reproduction d’un canon de 1517.
Est. 300 / 400
Cuivre. Longueur : 69 cm. Millésimé. Armoiries. En très belle condition.
Belgique
Rare sabre «anglais» de l’armée belge, Première guerre mondiale
342.
[BELGIQUE].
Sabre d’officier belge avec son fourreau de cuir. 1914.
Est. 800 / 1.000
Longueur du sabre : 98. Lame : 82 cm. Fourreau (en bois recouvert de cuir, bague de métal) : 86 cm. Lame
droite. Poignée en «peau de requin». Sabre offert par la Grande-Bretagne à l’armée belge au début de la
Première guerre mondiale. Identique à ceux de l’armée anglaise excepté la gravure sur la coquille,
présentant les initiales A(lbertus) R(ex), et la couronne royale belge (au lieu de la couronne britannique et
les initiales du roi George V. Seules quelques centaines d’exemplaires furent utilisés, jusqu’à ce que la
France en fournît d’autres, plus proches du modèle belge. Le fourreau présente une gaine, cousue par les
services de l’armée belge, chargée de maintenir un anneau permettant de fixer le fourreau à l’uniforme
belge (dans le cas présent, l’anneau est absent). Le sabre est pourvu d’une dragonne belge. Ensemble en
belle condition.
Epée de cour belge, fin XIX
ème
siècle
343.
[BELGIQUE].
Epée de cour avec fourreau. c. 1880.
Est. 500 / 700
Longueur de l’épée : 92,5 cm. Lame : 77 cm. Fourreau : 80 cm. Poignée en bronze et fuseau de nacre.
Armes de la Belgique et devise «L’union fait la force», et croix de Bourgogne. Lame damasquinée.
Fourreau en cuir noir et en cuivre. Il s’agit peut-être d’une œuvre de J. B. Rongé à Liège. Epée ayant dû
appartenir à un haut fonctionnaire civil (ambassadeur, gouverneur de province…) En très belle condition.
France
Décorations - Légion d’honneur, 1807
344.
[PREMIER EMPIRE].
Etoile de chevalier de la Légion d’honneur. 2
ème
type.
Argent. Couronne mobile.
Est. 700 / 800
Largeur : 38 mm. Petits éclats dans l’émail, ruban renouvelé. Accompagnée (au dos d’un petit cadre) d’une
note dactylographiée concernant le récipiendaire :
«Denis Delsemme, né à Liège, le 7 septembre 1771.
Capitaine Adjudant-Major. Chevalier de la Légion d’Honneur le 15 mai 1807 au siège de Dantzig.
Légataire du Testament de Napoléon Ier. Membre Fondateur et Commandant de la Société des Anciens
Frères d’Armes de l’Empire Français. Porte-Drapeau des Anciens Compagnons d’Armes de Napoléon I
er
».
Il avait bien entendu reçu la médaille de Sainte-Hélène :
«Delsemme, D., âgé de 87 ans, ayant servi de
1784 à 1814, 19
e
rég. de ligne, 17
e
cohorte de la garde nationale de la Roër»
(
Liste des anciens soldats de
