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SALMON.
NOUVEL ABREGÉ CHRONOLOGIQUE DE
L’HISTOIRE D’ANGLETERRE...
PARIS, ROLLIN & JOMBERT,
1751.
Deux volumes, in-8, de (2) f., VI pp., 614 pp., (1) f. - (2) f.,
573 pp., (1) p., (2) f., pleines reliures de l’époque en veau marbré.
Dos à nerfs très ornés et dorés portant les pièces de titre en
maroquin vieux rouge, coupes décorées et dorées, tranches rouges.
Petite usure aux coiffes supérieures.
Bon exemplaire.
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SENAULT (Louis).
HEURES NOUVELLES TIRÉES DE LA
SAINTE ECRITURE. Écrites et gravées par L. Senault.
A PARIS,
chez l’AUTEUR et chez Claude de HANSY, s. d. (après 1690 ?).
Un volume, petit in-8, de (1) f., 260 pp., pleine reliure ancienne
en maroquin bronze. Dos à nerfs très orné et doré portant le titre
doré (dorures un peu passées). Roulette dorée autour des plats avec
palettes dorées dans les angles. Coins renforcés en vélin blanc,
tranches rouges. Restauration ancienne dans la marge inférieure
de la page de titre pour cacher un ex-libris manuscrit. Cachets de
bibliothèque. Gardes et contre-plats habillés d’un curieux papier
ancien, fleuri et en couleurs.
Avec 87 lettrines, texte encadré d’un double filet noir.
Louis Senault (1630-1680), maître écrivain et graveur français, à publié
ces Heures entièrement gravées, dans un style riche et varié.
Très rare et recherché pour la gravure et la calligraphie.
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SUETONE.
C. SUETONII TRANQUILII DE DUODECIM CÆSARIBUS LIBER...
VENISE, FRANCISCI GINAMMI,
1663.
Un volume, in-16, de 464 pp., (9) f., pleine reliure muette de l’époque en vélin ivoire. Petits manques au dos, trace
de lacets, galerie de vers entre les pp. 147 et 152.
Edition de Venise.
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TERTULLIEN (Quintus Septimius Florens Tertullianus, dit).
OPERA.
BASILEAE APUD IO. FROBENIUMMENSE
IVLIO AN M. D. XXI. (BASLE, FROBEN, 1521).
Un volume, in-folio, de (6) f., 615 pp., (34) f., pleine reliure de l’époque
en veau brun sur ais de bois. Dos à 4 nerfs portant le titre manuscrit sur une pièce de vélin. Plats estampés à froid
d’un décor géométrique, restes de fermoirs métalliques. Reliure anciennement restaurée avec un manque de peau sur le
premier plat, un accident sur la coiffe inférieure, usure ou frottements aux coins. Déchirure, avec manque, dans la marge
inférieure du feuillet p. 605/606, sans perte de texte. Quelques lignes anciennement soulignées, quelques commentaires
manuscrits dans les marges.
Première édition, rare, dont parle Brunet V, 729 sans l’avoir vue. Elle fut publiée par Beatus Rhenanus Ebert.
Trois pages, dont le titre, sont dans de riches encadrements de personnages ou de scènes historiques. Ces encadrements sont en
couleurs (de l’époque ?). Les bandeaux, les grandes majuscules de tête de chapitre illustrées, sont également en couleurs. Toutes les
majuscules sont rubriquées.
L’auteur, né aux environs de 160 et décédé vers 220 à Carthage est un écrivain de langue latine. Convertit au christianisme il devient
la figure emblématique de la communauté chrétienne de Carthage. Théologien, Père de l’Église, auteur prolifique, catéchète, son
influence sera grande dans l’occident chrétien : On lui doit le développement du dogme Trinitaire.
(Voir reproduction page suivante.)
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THEOPHILE ANTECESSOR.
[TITRE EN GREC] - THEOPHILI ANTECESSORIS INSTITUTIONUM LIBRI IV.
Carolus Annibal Fabrotus Antecessor aquisextiensis ex tribus mss. codd. biblioth. regiae recensuit, et scholiis graecis
auxit. Idémque Jacobi Curtii latinam interpretationem emendavit, et notas adjecit. Huic editioni accessêre graeca
titulorum de verbor. significatione, et de Reg. Juris fragmenta è regiis codd. mss. eruta, eiusdem studio, et curâ.
PARIS,
MATHURIN DUPUIS, 1638.
Un fort volume, in-4, de (16 ) f., 916 pp., pleine reliure de l’époque en veau moucheté.
Dos à nerfs orné et doré portant une pièce de titre en maroquin vieux rouge, deux filets dorés autour des plats. Reliure
accidentée avec des usures aux coiffes, un mors fendu, usures aux coins.
Complet de la planche dépliante sur bois.
Texte sur trois colonnes : texte grec au centre, avec la traduction latine à gauche et les notes en latin à droite.
Paraphrase grecque des Institutes, rédigée sous le règne de Justinien ; on reconnaît dans Theophile l’un des rédacteurs des Institutes,
avec Trobien et Dorothée, publiées sous le nom de l’empereur.
Bonne édition pour le texte, corrigé sur trois manuscrits de la Bibliothèque royale.
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