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VA-T-ON EN FINIR AVEC LE SURRéALISME RéVOLUTIONNAIRE ? Affichette invitation. Feuillet in-4.
Affichette invitation pour la conférence de Noël Arnaud, Christian Dotremont et René Passeron à la Salle de Géographie
du boulevard Saint-Germain.
338 SZEKELY (Véra). MASSACRE DU PARACLET.
Paris, Michèle Broutta, 1976.
Album in-folio, en feuilles, sous
emboîtage toilé de l’édition.
2 000 / 3 000
Édition originale limitée à
72
exemplaires numérotés et signés par l’artiste de cet album imprimé sur tissu
comportant
12
sérigraphies originales signées de véra székély.
Étonnante réalisation.
339 TARNAUD (Claude). THE WHITE CLAD GAMBLER.
s.l. s.e., 1952.
In-8, couverture illustrée broché.
150 / 200
Édition originale. Pas de grand papier.
Illustrations, dont la couverture, de Henriette de Champrel.
L’on joint le catalogue de l’exposition « Les Imaginistes Suédois » à la Galerie de Babylone en
1953
. Plaquette
agrafée in-
4
.
Texte de Edouard Jaeger.
Lithographie originale de C. O. Hulten sur la couverture.
Exemplaire de Claude Tarnaud portant cet envoi autographe signé :
« À Claude Tarnaud et H. de Champrel à qui les
flots de la mer Rouge font oublier les maux de leur frère rouge. Ce divertissement Baltique. Jaeger, 02/02/1954 ».
340 TARNAUD (Claude). 7 LETTRES AUTOGRAPHES ET UNE CARTE POSTALE AUTOGRAPHE SIGNÉES À
FRANÇOIS DI DIO. 1975 – 1976. 11 pages in-4 et in-8.
800 / 1 000
Correspondance relative au texte de Claude Tarnaud « La Marie-Jeanne » et à sa relation avec Rodanski.
« … Plusieurs personnes parmi mes amis m’ont demandé si le texte anonyme qui clôt Lancelot n’est pas de moi. Tu
m’avais posé la même question – je ne m’y reconnais pas. Mais je commence à me demander si Stan ne l’a pas cru aussi.
Le paragraphe qui précède la citation me trouble de plus en plus et cela expliquerait les deux lettres qu’il m’a envoyé,
lettres très sibyllines dans leur beauté, d’un ton haut et d’une ironie très acérée, et qui m’avaient toujours laissé un
sentiment de gène vis-à-vis de lui sans qu’il y eut à cela la moindre raison. Tu sais que je n’ai jamais revu Stan depuis…
et que notre correspondance ne reprit que bien plus tard vers 52… »