SERGE FÉRAT (1881-1958). Guéridon au tapis rouge. Gouache sur papier, signée en bas à droite 49 x 24 cm à vue - 19 1/4 x 9 1/2 in. by sight
Estimation :
6 000 - 8 000 €
Adjudication :
13 000 €
Description
Gouache on paper, signed lower right
PROVENANCE
Collection Haba et Alban Roussot
Vente Artcurial Hommage à Serge Férat, Paris, 22 octobre 2007
Collections Aristophil
EXPOSITIONS
Paris, Galerie Françoise Tournié, Encore des Russes, accompagné d'un hommage à Serge Férat, 20 novembre 1975 - 20 janvier 1976
Baden Baden, Staatliche Kunsthalle, Jean Cocteau, 6 mai - 30 juillet 1989
Venise, Biennale de Venise, Jean Cocteau, 2 - 30 septembre 1989
Bruxelles, Musée d'Ixelles, Jean Cocteau, 12 octobre - 15 décembre 1991
BIBLIOGRAPHIE
Jeanine Warnod, La vie des Arts, 17 octobre 1989, repr.
Impossible de ne pas évoquer Arcimboldo devant cette toile : Férat, fait surgir de sa nature morte un étrange personnage, poète musicien vêtu de la nappe rouge vif qui tient lieu de cape de matador semble tenir en main partition et guitare.
This painting inevitably evokes the idea of Arcimboldo. Férat makes a strange figure emerge from his still life: a poet-musician wearing the bright red tablecloth as a matador’s cape, seemingly with a score and guitar in his hand.
PROVENANCE
Collection Haba et Alban Roussot
Vente Artcurial Hommage à Serge Férat, Paris, 22 octobre 2007
Collections Aristophil
EXPOSITIONS
Paris, Galerie Françoise Tournié, Encore des Russes, accompagné d'un hommage à Serge Férat, 20 novembre 1975 - 20 janvier 1976
Baden Baden, Staatliche Kunsthalle, Jean Cocteau, 6 mai - 30 juillet 1989
Venise, Biennale de Venise, Jean Cocteau, 2 - 30 septembre 1989
Bruxelles, Musée d'Ixelles, Jean Cocteau, 12 octobre - 15 décembre 1991
BIBLIOGRAPHIE
Jeanine Warnod, La vie des Arts, 17 octobre 1989, repr.
Impossible de ne pas évoquer Arcimboldo devant cette toile : Férat, fait surgir de sa nature morte un étrange personnage, poète musicien vêtu de la nappe rouge vif qui tient lieu de cape de matador semble tenir en main partition et guitare.
This painting inevitably evokes the idea of Arcimboldo. Férat makes a strange figure emerge from his still life: a poet-musician wearing the bright red tablecloth as a matador’s cape, seemingly with a score and guitar in his hand.
