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FABER (J. N.).
Les Émeutes et la Guerre des barricades.
Deuxième
édition.
Gand, Imprimerie de Eug. Vanderhaeghen, sans date
[1876 ?].
In-12, demi-basane de l’époque.
Comment mater les émeutiers par un capitaine belge : manuel
détaillé (cf. Bugeaud, nº 133).
Émeutes dans les charbonnages et
autres établissements industriels situés en dehors des garnisons ; émeutes
industrielles dans les villes de garnison ; émeutes occasionnées par la disette ;
troubles religieux ; émeutes politiques ; la guerre des barricades,
etc.
Exemplaire modeste.
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ENFANTIN (Prosper).
Economie politique et politique.
Articles
extraits du Globe. Deuxième édition.
Paris, bureau du Globe, mars
1832
.
In-8, demi-chagrin vert de l’époque.
Ingénieur et économiste, le Père Enfantin (1796-1864) fut le
principal propagateur du saint-simonisme. Il fonda successivement
Le Producteur
et
Le Globe.
Ses articles devaient fournir à la nouvelle
doctrine ses principaux éléments économiques.
(Fournel,
Bibliographie saint-simonienne,
p.94).
Bel exemplaire de la bibliothèque de Pierre Janet.
On joint deux autres ouvrages d’Enfantin :
- La Vie éternelle passée, présente, future.
Paris E. Dentu, 1861. In-4,
broché.
Édition originale de ce livre considéré comme le testament
philosophique d’Enfantin. Dos fendu avec manques.
-
Retraite de Ménilmontant.
6 juin 1832. Paris, Everat, 1830. In-8,
broché. Couverture muette.
Feuille populaire de Ménilmontant dans laquelle Enfantin annonce
la prise de l’habit d’apôtre. Exemplaire très modeste.
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ENFANTIN (Prosper).
Correspondance philosophique et
religieuse.
1843-1845.
Paris, Lacrampe, 1847.
Grand in-8, veau blond, dos à nerfs orné, encadrements de filets doré
sur les plats, tranches dorées
(reliure de l’ époque)
.
Édition originale.
“Enfantin fut un voyant. Le socialisme qu’il avait annoncé a été
construit, ses prophéties sur l’Algérie, la politique européenne, la
création d’Israël, se sont réalisées” (Alem,
Enfantin, le Prophète aux
sept visages,
1963, p. 225).
Envoi autographe signé à la tragédienne Rachel (1821-1858).
Le 6 mars 1848, pour la première fois, Rachel chanta la
Marseillaise
sur la scène de la Comédie-Française (alors Théâtre-Français).
Belle reliure de l’époque avec son chiffre doré sur le premier plat.
Ex-libris gravé de Rachel sur le faux-titre. Mors légèrement frottés.
Quelques rousseurs.
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