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Pavillon de Trajan à Philae, en Nubie.

 

Voyage au Congo, en 1828

Voyage sur le Nil, en 1817

voyage à Saint-Malo, en 1660.

Voyage en 1720, pour la rédemption des captifs: Algérie et Tunisie

LE SOUVENIR EMOUVANT D'UNE BIBLIOTHEQUE DE "CELSUS"     


VOYAGE AU CONGO EN 1828, 1829 et 1830

Voyage au Congo et dans l'intérieur de l'Afrique Exquinoxiale, fait dans les années 1828, 1829 et 1830. Par le Jean-Baptiste Douville, à Hambye (Manche) en 1794 et assasiné à Formigas (Brésil) ; après un séjour à Rio de Janeiro, l'auteur partit pour l'Afrique : il aborda en décembre 1827, à St. Philippe de Benquella, en Angola, suivit la côte et parvint à Paul de Loanda. Il remonta le fleuve Cuenza, se porta ensuite vers le nord et parvint à Kassouga, à la frontière actuelle de l'Angola et de l'Etat libre du Congo, descendit (vers le nord) la rivière Kouango,affluent du Kassaï, affluent lui même de gauche du Congo, le traversa et parvint peut être au lac Léopold II, ou à ses abords. Il est probable que ce voyage a été fait en compagnie de négriers, ce que Douville se garde bien de nous dire et ce qui expliquerait la difficulé qu'il a eu plus tard à établir l'authenticité de son voyage.(F.Marquis)

A Paris, chez Jules Renouard, Libraire, 1832, 3. volumes, in.8°, et un grand Atlas in.4°, de 20 planches h.t. dont 2 en couleurs et une grande carte repliée.
     


Extrait : "Le Voyageur d'Europe..., par Monsieur A. Jouvin de Rochefort". A Paris, Chez Louis Billaine, M.DC.LXXII (1672), IN.8°, 298 pages, avec une carte de France.

Le sieur Albert Jouvin de Rochefort, était trésorier de France à Limoges en 1675 et cartographe, il entreprit ce voyage en 1660. Les chapitres consacrées à la Bretagne sont les plus intéressants et les plus complets que nous connaissons pour le XVIIe siècle. Un des chapitres est consacré à la ville de Saint-Malo. L'auteur relate avec précision les meilleures hôtelleries, s'intéressant aux curiosités locales, aux coutumes et fêtes célébrées par les bretons, ce qui lui inspirent des remarques curieuses et pleines de bon sens, etc...

Pour en lire un extrait cliquez sur l'image

  


VOYAGE DANS LE LEVANT EN 1817 (L'EGYPTE)

Pour en lire un extrait cliquez sur l'image.

C'est François-René de Chateaubriand, qui a probablement déterminé la vocation de Louis de Forbin à prendre la mer en 1817, pour se rendre en Asie Mineure ( Constantinople, Ephèse ), la Palestine et l'Egypte ou il remonte le Nil, vers la Haute. Comme Chateaubriand (Voyage en Terre Sainte,1806), son voyage est due à son initiative personnelle, mais il a obtenu la mission de peindre et de rapporter des antiquités, ce qui lui vaut la faveur de voyager sur une frégate de l'escadre du Levant, la Cléopâtre. Il est accompagné par "M. Prévost dessinateur, connu par ses beaux panoramas", et par un jeune élève de la marine qui avait quitté la frégate pour s'attacher à M. Prévost, Linant de Bellefonds. Dans son voyage, Forbin se montre un mûr observateur. Il possède une forte culture humaniste, mais en use avec discrétion. Son style est souvent un pastiche maladroit de celui de Chateaubriand (Voyage en Terre Sainte, 1806). Ce n'est pas un écrivain de métier mais en revanche il est peintre, donc plus précis dans ses descriptions. (F. Bassan)

La première édition du voyage fut tiré à 325 exemplaires. Imprimerie Royale 1819, in.fol. orné de 80 planches lithographiques. La seconde (1819 ), in.8°, avec un plan du Saint Sépulcre de Jérusalem.
   


VOYAGES POUR LA REDEMPTION DES CAPTIFS

ESCLAVES CHEZ LES MAURES EN ALGERIE & TUNISIE

"Voyages pour la rédemption des captifs aux Royaumes d'Alger et de Tunis, fait en 1720...par les frères Comelin, La Motte et Bernard..."

Cet ouvrage est le récit des démarches effectuées par des frères religieux en vue de faire recouvrer la liberté à des chrétiens captifs et esclaves chez les Maures en Algérie et en Tunisie. Il comporte ausssi une description de la ville et de la société d'Alger. En outre, on y trouve une liste nominative des personnes qui ont été libérées. L'ensemble de l'opération de sauvetage est ensuite mis en perspective par une réflexion sur le sens de ce geste dans la vie d'un croyant.

 

l'édition originale est imprimée à Paris, chez Louis-Anne Sevestre, Pierre-François Giffart, 1721, in.16°, (12)-169-LX-306 pp., ill : un portrait de Louis XV par Giffart, + planches et cartes.

 2e édition : A Rouen, chez Pierre Machuel, M.DCC.XXXI (1731), in.8°, 270.pp.


 

LA BIBLIOTHEQUE DE CELSUS  A EPHESE (114-117 ap. J.C.)

 BIBLIOTHEQUE DE CELSUS (Turquie)

La bibliothèque de Celsus à Ephèse, fut construite en 114-117 ap. J.C. par le Consul Julius Aquil à la mémoire de son père, Gouverneur de la province d'Asie-Mineure. Sa tombe intacte est conservée sous la niche central de la salle de lecture. La bibliothèque constitua, avec près de 12000 rouleaux, l'un des fonds les plus important du monde antique, après ceux d'Alexandrie et de Pergame. Ce trésor culturel a disparu dans un incendie, au troisième siècle ap. J.C. Sur la place à droite (côté nord) se trouve deux portes : Mazeus et Mithridate, qui donnent sur l'Agora inférieure. Cette photo fut prise en septembre 1998.

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