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Portail du livre rare
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Recherche sur la langue, l'origine et les antiquités des celto-bretons de l'Armorique, par Théophile-Malo CORRET de La TOUR d'AUVERGNE, premier grenadier des armées françaises , né à Carhaix (Finistère), le 23 octobre 1743. Mort au combat le 28 juin 1800. En 1793, il en comptait quarante cinq de service, dont trente trois d'effectifs. S'étant déclaré pour la révolution, il servit d'abord à l'armée des Pyrénées orientales, où il commandait toutes les compagnies de grenadiers formant l'avant garde, et appelées colonne infernale. Ses loisirs étaient consacrés à la méditations, et l'on trouvait toujours un livre à ses côté. L'étude de la langue celtique l'occupa toute sa vie. En 1792, il fit paraître ses nouvelles Recherches sur la langue, l'origine et les antiquités des Bretons, pour servir à l'histoire de ce peuple ; avec un exellent Glossaire breton-polyglotte. Imprimé à Bayonne, chez Pierre Fauvet le jeune. Cet ouvrage reparu, en 1797, imprimé à Paris, chez Quillau, an V. in.8°, 340 pages. Ces ouvrages sont de nos jours devenus de la plus grande rareté. |
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Dans son travail, La tour d'Auvergne cherche à prouver que les gaulois ont été connus sous le nom de celtes, de scythes et de celto-scythes ; que leur langue s'est conservée dans la bretagne armorique ; qu'on en retrouve les traces dans la langues des divers peuples de l'Europe et de l'Asie, au milieu desquels les celtes ou gaulois formèrent des ètablissements ; enfin que c'est aux celtes ou gaulois, que les grecs et les romains ont emprunté leurs cultes et la plupart de leurs usages. La seconde partie contient un glossaire polyglotte, ou tableau comparatif de la descendance des langues des celtes ou bretons. (Quèrard) |
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36, rue de la Pionniére, 35800 DINARD (France). Breizh-Nihon EST UN CLUB D'AFFAIRES CREE DANS LE BUT D'AMELIORER LES RELATIONS BRETONNES AVEC LE JAPON. |
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OUVRAGE TRES RICHEMENT ILLUSTRE. |
Cent trente ans après la malheureuse affaire du camp de Conlie, Philippe Le Moing-Kerrand, nous apporte un travail tout à fait nouveau à travers deux années de recherches scrupuleuses sur place, et dans de nombreuses archives. L'auteur nous ouvre une perspective nouvelle sur les mobilisés de l'armée de Bretagne, dont 50 000 passeront par le camp entre novembre 1870 et janvier 1871, ou la plupart furent abandonnés à eux-mêmes dans ce camp dont la boue est devenue légendaire. Faute d'avoir reçu des armes et une instruction militaire, seuls 10 000 d'entre eux feront campagne. Sans idée préconçue et sans complaisance l'auteur fait revivre les souffrances et le désespoir de ses Bretons oubliés dans la boue. Un bel hommage rendu à nos aînés. 
: chez l'auteur
Philippe LE MOING-KERRAND
LOPERHET. 56400 - PLOUGOUMELEN (France) ( 185,ff - plus port ) |
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