Previous Page  62 / 132 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 62 / 132 Next Page
Page Background

60

131 [MANUSCRIT]. BOSCHI (Giuseppe). Geometria pratica, o sia esercizii di compasso necessarii alli giovanni

principianti in architettura, di Giuseppe Boschi, pittore ed architetto faentino, con in fine varie considerazioni

pratiche sopra le stime delle case. S.l.n.d. [Italie, XVIII

e

siècle]. In-folio de [2], 43 ff., vélin rigide, tranches rouges

(

Reliure italienne de l’époque

)

.

300 / 400

Très beau manuscrit italien du xviii

e

siècle renfermant un cours complet de géométrie à l’usage des étudiants en

architecture par Giuseppe Boschi, dit le Carloncino, architecte à Faenza.

Réalisé avec grand soin, l’ouvrage a été copié très lisiblement à l’encre brune, réglé d’un simple filet d’encadrement et

illustré de nombreuses figures géométriques habilement dessinées à la règle et au compas.

Quelques faibles rousseurs. Essais de plume au contreplat inférieur.

132 [MANUSCRIT]. ROUSSEL. Liste des abbesses de l’insigne chapitre S

t

Goëri d’Epinal, avec quellesques pieces et

quellesques anecdotes reccueillies par Roussel conseiller au Bailliage d’Epinal et mises en ordre par le jeune de ses

fils avocat.

Fini en mai 1785.

In-4, maroquin rouge, triple filet doré et fleurons aux angles, dos orné, pièce de titre

verte, dentelle intérieure, tranches dorées (

Reliure de l’époque

)

.

1 500 / 2 000

Important et beau manuscrit sur le chapitre de Saint-Goëry d’Épinal.

Chaque notice biographique est précédée d’un titre intermédiaire orné, quand elles sont connues, des armoiries

dessinées et coloriées de l’abbesse concernée.

L’ouvrage est dédié à Marie-Louise-Victoire Le Bascle d’Argenteuil, abbesse de Saint-Goëry en

1784

-

1785

, dont une

grande planche repliée présente l’arbre généalogique aux nombreuses armoiries peintes.

L’existence de l’Insigne Chapitre de Saint-Goëry est attestée au XIII

e

siècle, réunissant des dames nobles (ou

chanoinesses) qui devaient justifier de

200

ans de noblesse chevaleresque des deux côtés. La supérieure élue à leur tête

conserva le titre d’abbesse ; on l’appelait « Madame d’Épinal ».

Bel exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque.

Menues éraflures et quelques taches sur les plats ; planche généalogique uniformément roussie et déchirée (sans

manque).

131

132