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20

25.

Jean Émile LABOUREUR

. 62

dessins

originaux à la mine de plomb, et un tirage aquarellé, pour

Bel-Ami

de

M

aupassant

, [1934] ; 12 feuillets environ 25 x 18 cm, et 50 feuillets 17 x 21 cm, 4 avec son cachet encre.

1 000/1 200

S

érie

de

dessins

et

esquisses

pour

l

illustration

de

B

el

-A

mi

de

M

aupassant

, dans l’édition en 15 volumes des

Œuvres complètes

illustrées de Guy de Maupassant

(Librairie de France, t. XI, 1934). Presque tous portent une note identifiant le sujet, et parfois

son emplacement dans le volume : « Folies Bergères », « Salon Forestier », « Duroy et Clotilde », « Le jardin de Cannes », « Visite

à Rouen », « L’enlèvement », « Duroy sur le boulevard », « L’escalier », « Le cabinet particulier », « Le déjeuner à la brasserie », « Le

duel », « Dans le train de Rouen », etc. Le dessin représentant Bel-Ami dans sa chambre, en train de rédiger un article, est en double

état : mine de plomb, et cliché aquarellé.

Reproduction page précédente

26.

Jean-Émile LABOUREUR

. 30

dessins

originaux à la mine de plomb pour

The Finer Cooking

, [1937] ; sur

30 feuillets 26 x 21,5 cm.

1 000/1 200

S

érie de

30

dessins

et

esquisses

pour

The Finer Cooking, or Dishes for parties

par Xavier-Marcel

B

oulestin

(2 vol., London, Cassell,

1937). Les illustrations figurent dans le tome I, destiné à la maîtresse de maison (le second, comprenant les recettes, est pour la

cuisinière) : frontispices et dessins en pleine page, en-têtes, petits ornements, etc. Laboureur a marqué l’emplacement et quelques

titres dans le coin supérieur droit de dix de ces dessins :

Fearless dancers

,

Chasse au faisan

,

Poulet Marengo

,

Gothic

,

Crêpes Suzette

et carnaval

... On reconnaît également : le cuisinier magicien, l’arbre de Noël, le cuisinier pêcheur, la naissance de la paella, la leçon

d’œnologie, la poularde truffée, la recherche des truffes, le melon, l’ananas, les côtelettes, les fromages, les asperges, les radis, la

carpe, les cèpes, les fraises, la pêche au carrelet, etc.

Reproduction page précédente

27.

Jean Émile LABOUREUR

. Plus de 80 feuillets de

dessins

et

croquis

originaux à la mine de plomb (2 à la plume), et

notes

autographes ; formats divers, qqs feuilles avec croquis sur les deux faces (quelques tirages et documents joints).

700/800

Maquettes d’affiches touristiques pour les Grands Réseaux des Chemins de fer français et pour la Bretagne (et notes autogr. sur

les sujets envisagés). Croquis de ports, bateaux, pécheurs, cyclistes, musiciens, joueurs de tennis et personnages divers, paysages,

scènes d’intérieur, etc.

Reproduction page précédente

* * * * *

28.

Lucien LÉVY-DHURMER

(1865-1953). 2 L.A.S., [à Mme Henri

C

azalis

] ; 2 pages in-12 et 1 page in-8. 100/150

[1905].

À propos du projet d’édition de la partition

Larmes d’amour

d’Edmée

C

azalis

par l’éditeur

A

struc

 : « Il m’écrit que la

Valse de M

lle

Edmée est délicieuse et qu’il va se laisser aller à son penchant pour ce qui est joli. Vous me voyez ravi. Très bientôt

vous aurez le portrait de votre charmante et très forte musicienne » [cette valse sera dédiée au peintre]...

Mardi

. Il doit reporter

une nouvelle fois leur séance : « Le portrait de la Comtesse qui va bien (dit-on) me prendra demain jusqu’à 4 h. [...] Votre bonté

seule est cause de tant de remises »...

29.

André LHOTE

(1885-1962). 4 L.A.S., 1929, au galeriste Lucien

M

oline

 ; 9 pages petit in-4, enveloppe.

400/500

18 juin

. Il a eu de la peine à garder chez lui les œuvres que Moline avait choisies, mais s’est fait un plaisir de vendre celles du

« banquier infidèle autant que mal avisé [...] le nu renversé pastel qu’il avait choisi est vendu (4000) ainsi que l’étude directe, même

prix. (M.

W

eill

en fait faire une estampe en couleurs). La vente va assez bien ». Il le prie d’attendre la fin de l’exposition pour

faire prendre les œuvres qu’il a réservées : «

P

ottier

les trouvera chez Colette

W

eill

et les prendra en même temps que celles que

vous avez indiquées [...] car je vais souvent à la Galerie Weill et je peux y porter vos toiles »...

23 juillet

. Il n’a pu lui rapporter

les toiles ; au moment du départ « toutes les complications me tombent dessus. [...] Par contre j’ai terminé et encadré : 1°

Le Café

– peinture – 4000

F

 ; 2°

Le Café

– pastel – 3.000

F

 ; 3°

Paysage

– peinture – 2.800

F

 ». Il les tient à disposition et lui conseille de

les pendre en même temps que les

M

atisse

« dont les possesseurs sont désespérés »… Il fait « de l’aquarelle en pensant à vous »...

25 juillet

. Il accuse réception des 31.500 francs pour le « tableau de

M

atisse

Joueur de mandoline

que je vous ai cédé »...

Dimanche.

Il se désole de ne pouvoir le voir avant son départ, mais il a trop de choses à faire avant de quitter Paris. « Quant aux aquarelles,

il y en a

6

nouvelles fraîchement collées. Je peux en trouver 4 dans mes cartons. Ça en fera 10 grandes pour votre amateur. Mais

ces aquarelles-là, Colette

W

eill

me les achète 800

F

(et les prend à 1000 en dépôt) [...] Le maximum serait 5.000

F

net pour moi pour

les 10 »...

O

n

joint

une L.A.S. à une dame, 18 décembre 1929 (1 page et demie in-4), pour un rendez-vous.