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Tome III) Anatomiae amphitheatrum effigie triplici… (Sectionis primae portio tertia de anatomica triplici).
Francfort,
Érasme Kempfer pour Jean Théodore de Bry, 1623
. — Monochordum mundi symphoniacum.
Francfort, Érasme
Kempfer pour Jean Théodore de Bry, 1623
.
Tome IV) Philosophia sacra & vere Christiana seu Meteorologia cosmica.
Francfort, de Bry, 1626.
Tome V) Integrum morborum mysterium : sive medicinae catholicae.
Francfort, Wolfgang Hermann, 1631
. —
Katholicon medicorum katoptron. De morborum signis. S.l.,
1631
. — Pulsus seu nova et arcana pulsuum historia.
S.l.n.d. [1631 ?].
Tome VI) Medicina catholica, seu mysticum artis medicandi sacrarium.
Francfort, Caspar Rötel pour Fitzer, 1629
. —
Sophiae cum moria certatem, in quo lapis lydius a falso structore. S.l.,
1629
.
Tome VII) Philosophia moysaica.
Gouda, Petrus Rammazenius, 1638
. — Responsum ad Hoplocrisma-Spongum. M.
Fosteri.
Gouda, 1638
. — Summum bonum. S.l.,
1629
. — Clavis philosophiae et alchymiae Fluddanae.
Francfort,
Fitzer, 1633.
À
LA RECHERCHE DES MYSTÈRES DE L
UNIVERS
,
DE
D
IEU ET DE L
ÊTRE HUMAIN
, Robert Fludd, né en 1574 dans le Kent,
en Grande-Bretagne, et mort à Londres en 1637, est l’un des grands esprits humanistes et scientifiques de la
Renaissance. Reçu maître ès arts à Oxford en 1598, il effectue ensuite un long voyage sur le continent européen
(France, Espagne, Italie et Allemagne) où il est initié dans les cénacles de l’ordre des rosicruciens et perfectionne ses
connaissances en matière de physique, de philosophie, d’astrologie, de théologie, d’alchimie ou encore de médecine.
Puis, de retour en Angleterre, il obtient le grade de docteur en médecine à Londres.
Dans ses écrits, Fludd ne cessera de questionner l’origine du monde et celle de l’homme : Pierre Piobb, dans son
édition annotée de l’
Étude du Macrocosme
(1907, pp. III-IV), nous dit que
Robert Fludd, par son savoir, par son esprit
froid et positif, par sa pensée libérée de toute contrainte, par son génie enfin, a été, parmi les philosophes du
commencement du dix-septième siècle, celui qui a eu la compréhension la plus grande, la plus nette, la plus belle de
l’Univers en entier.
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