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dont “La maison, vieux castel...”. Les Leroy-Dupré étaient apparemment les châtelains de Naudet
(à Vianne, Lot-et-Garonne).
430 COOLEN, Antoon
- Autogr. gesign. brief aan “Heer [Jef] Laureys”, Waalre, 31/5/1938, 2 p. op
dubbelgevouwen 4to.
€
100/120
De Nederlandse romanschrijver, bezig aan zijn nieuwe roman, belooft een stuk klaar te maken voor
het feestnummer van “Onze Kempen”, een driemaandelijks tijdschrift van Jef Laureys.
431 COPPEE, François
- [Toute une jeunesse]. Manuscrit aut. non signé, [46] ff., in-folio. Traces
d’usage, souill., etc.
€
200/300
Manuscrit de travail abondamment raturé, incomplet: nous avons les chapitres 1-4 et 9 à 17 (et
dernier). Publié en 1890 chez Lemerre, ce roman n’est ni une autobiographie ni une confession
mais “Amédée Violette, personnage imaginaire dans une action imaginaire, sent la vie comme je la
sentais quand j’étais un enfant et quand j’étais un jeune homme” (cf. préface de l’édit. impr.).
Joint
,
du même
, 7 ff. épars (abîmés, 1 déchiré) dont 2 évoquant Emile Augier et 3 présentant des
brouillons de poèmes.
432 DELVAUX, Paul
- Sign. aut. sur 1 lettre dactyl. à Paul Van den Abbeel, Veurne, 10/11/1984, 1 p.
sur 1 f., in-4, envel. cons.
€
80/120
Il précise que son ami Emile Salkin est bien représenté dans son tableau “Le musée Spitzner” mais
il ne peut le renseigner sur ses relations avec Igor Stravinsky.
433 DEMOLDER, Eugène
- 2 lettres dont 1 illustrée et 1 texte aut.s.
€
100/150
A “mon cher Jules”, Demi-Lune, 2/9/1899, 4 pp. sur 1 double f., in-12,
enrichie de 4 petits dessins
humoristiques
: amusante lettre dans laquelle il représente des animaux familiers, une oie qui vole
les oeufs, 2 chiens se reniflant, son autoportrait après un abus de bière lambic et une caricature
légendée “Levy, continue! Vos finira par acheter un chateau!”. A Sacha Guitry, s.l., [c. 1907], au
verso d’une facture du “Petit Parisien” adressée à Mme Duluc: il aimerait le revoir et l’embrasser
tendrement “en échange des la profonde affection dont témoignent vos si charmantes lettres”; il lui
souhaite à Bruxelles un “succès retentissant”.
Texte titré “Saint Nicolas”
, Demi-Lune, s.d. (déchir.
sans manque aux plis), probablement pour “L’almanach judiciaire”. Adresse à saint Nicolas dans
laquelle il fait allusion aux avocats Eugène Robert et Edmond Picard, ainsi qu’au juriste et homme
politique Alexandre Braun.
Joint
: 7 photogr. (retirages), format carte postale, figurant sans doute
diverses vues de la Demi-Lune, la maison, le jardin, etc. (10 pcs)
434 [Demolder]
-
6 lettres aut.s.
à Eugène Demolder à propos de “La route d’émeraude” et de “La mort
aux berceaux”, corresp. divers.
€
180/250
Charles Buls
, 2 pcs: Bruxelles, 1899, 1 p. sur 1 double f., in-12, envel. cons.: il le remercie de
son bon souvenir et de son aimable attention, - Bruxelles, 1904, 4 pp. sur 1 double f., in-12: il
a enfin eu le temps de le lire et constate “avec bonheur que nos auteurs, tout en publiant leurs
oeuvres à l’étranger, en s’y fixant quelquefois, conservent néanmoins un style savoureux et coloré
(...) J’ai retrouvé ces qualités caractéristiques de notre école flamande de peinture dans les jolis
tableaux de la “Route d’Emeraude” (...) La patrie restera encore longtemps la source la plus pure
et la plus vivante de l’Art, malgré l’internationalisme et le cosmopolitisme (...)”.
Jules Destrée
(monogr.), Marcinelle, 8/10/1899, 4 pp. sur 1 double f., in-12, deuil, envel. cons.: il le remercie
pour l’envoi de son livre et évoque avec émotion la cruelle maladie de son père.
Jules Le Jeune
,
Münsbach, 31/7/1899, 1 p. sur 1 double f., in-12, envel. cons.: il remercie pour l’envoi de “La mort
aux berceaux”.
René Ghil
, Paris, 22/11/1899, 2 pp. sur 1 double f., in-12, envel. cons.: “... je tiens
ce livre pour une oeuvre d’art somptueux, médité” et souhaiterait en faire la chronique dans “La
Critique”.
Oswald Allard
, Bruxelles, oct. 1899 (cachet postal), 6 pp. sur 2 doubles ff., in-12, envel.
cons.: il remercie pour le “beau livre” (“C’est du Rubens littéraire (...) Kobe m’intéresse et je suis
curieux de voir comment tu vas le faire arriver à la maîtrise (...) car te voilà passé maître (...) mon
bon ami que tu dois être heureux et combien ta charmante et douce compagne doit être fière (...)”.