5 / 116
5
03
[JACQUES Lucien]. GIONO (Jean).
« DFFRPSDJQpV GH OD ÀWH
Péri-
gueux, Pierre Fanlac, 1951.
,Q EURFKp FKDUQLqUHV UHQIRUFpHV
eGLWLRQ LOOXVWUpH GH GL[ VHSW FUD\RQV GH /XFLHQ -DFTXHV
8Q GHV H[HPSODLUHV VXU YpOLQ DOID 1DYDUUH Q
7LUDJH j H[HP-
plaires.
%LEOLRJUDSKLH 0RQRG
¼
04
[JACQUES (Lucien)]. GIONO (Jean).
« DFFRPSDJQpV GH OD ÀWH
Ma-
nosque, Rico et Auphan imprimeurs, 1959.
Grand in-4, en feuilles, couverture imprimée en rouge et noir, chemise et étui
d’éditeur.
eGLWLRQ LOOXVWUpH GH JUDYXUHV VXU ERLV GH ¿O DX FDQLI HQ SOHLQH SDJH GH
Lucien Jacques.
3RqPHV SUpFpGpV GH OHWWUHV j /XFLHQ -DFTXHV GH j
Préface originale de 6 pages de l’auteur pour cette réedition.
([HPSODLUH QXPpURWp VXU SXU ¿O G¶$UFKHV Q
7LUDJH j H[HPSODLUHV
([HPSODLUH FRPSOHW GX EXOOHWLQ DQQRQoDQW OD SDUXWLRQ GH O¶RXYUDJH
¼
/H FDUDFWqUH UXVWLTXH GHV ERLV GH ¿O DX FDQLI GH /XFLHQ -DFTXHV HVW HQ SDUIDLWH DGp-
quation avec les poèmes bucoliques de Giono. Cet ouvrage témoigne d’une belle unité
esthétique et d’une grande complicité entre l’auteur et l’illustrateur, au delà même de
leur amitié.
05
GIONO (Jean).
&ROOLQH
Paris, Bernard Grasset, 1929.
,Q GHPL PDURTXLQ YHUW ERXWHLOOH j FRLQV SODWV GH SDSLHU JODFp JULV ERUGp
GH ¿OHWV GRUpV GRV j QHUIV GRXEOXUHV HW JDUGHV GH SDSLHU JODFp JULV WrWH GR-
UpH QRQ URJQp FRXYHUWXUH FRQVHUYpH 5HOLXUH VLJQpH 3LHUUH /XFLHQ 0DUWLQ
eGLWLRQ RULJLQDOH
, qui constitue le huitième cahier de la troisième série de la
collection
Les Cahiers verts.
8Q GHV UDUHV H[HPSODLUHV KRUV FRPPHUFH VXU YpOLQ SXU ¿O FUqPH /DIXPD
sous double couverture verte et crème. Plus petit tirage sur grand papier.
([HPSODLUH 1, MXVWL¿p / + & ,
Très bel exemplaire du premier chef-d’oeuvre de Giono, dans une subtile et
pOpJDQWH UHOLXUH GH 3LHUUH /XFLHQ 0DUWLQ GRQW OHV FRXOHXUV pYRTXHQW OD +DXWH
Provence.
¼
Colline
est le premier roman de Giono. C’est ce roman qui le fait connaître à Paris dans
les milieux littéraires ou Gide en vante les mérites. Giono gardera toujours pour ce pre-
mier roman une grande tendresse.
Dans une lettre à Louis Brun directeur littéraire chez Grasset, datée du
11 juillet 1929
(
SS LQ DSUqV DYRLU pYRTXp VHV PLQFHV FKDQFHV SRXU OH SUL[ *RQFRXUW -HDQ *LR-
no réagit assez violemment au fait que Grasset ait piétiné dans le service de publicité
les clichés de placards pour
Colline
en disant «
qu’on avait déjà fait trop de publicité pour
cette cochonnerie, ça, bien entendu, je m’en fous. Il est libre d’apprécier à son gré. Mais,
RX oD QH P¶HVW SOXV pJDO F¶HVW HQ FH TXL FRQFHUQH OD ¿JXUH TXH MH IDLV HQ FRQWLQXDQW j
être édité par lui....
»
On connaît la suite avec l’affaire du double contrat. Le premier signé avec Grasset le 10
PDL
OH VHFRQG VLJQp DYHF *DOOLPDUG OH DRW
%LEOLRJUDSKLH VXFFLQWH GX UHOLHXU G¶DUW 3LHUUH /XFLHQ 0DUWLQ
GRQW O¶LGpH
maîtresse était la recherche de la meilleure adéquation artistique possible, entre le texte
et sa reliure.
La Reliure Originale,
%LEOLRWKqTXH 1DWLRQDOH 3DULV
P-L Martin,
%LEOLRWKHFD :LWWRFNLDQD %UX[HOOHV
Modern french bookbindings,
7KH $UWV &RXQFLO *DOOHULH /RQGUHV
05
05