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First edition published in the German-speaking area. “A monument of humanistic jurisprudence” (“Ein Monument

der humanistischen Jurisprudenz”). “He points out numerous copyists mistakes and proposes judicious corrections. He

was the precursor of the modern Romanists, who from the time of Cujas have been concerned with textual criticism

and with the study of Roman law as history rather than as contemporary legislation. This method had as its ultimate

result the weakening of influence of the ‘Corpus juris’ on the political thought of the time “ (ESS III,

38

).

L’atelier de reliure de Jean-Édouard Niedrée fut poursuivi par sa veuve de

1854

à sa propre mort en

1861

.

Élégant timbre de collection non identifié à l’encre rouge au titre. Prov. Château d’A***

Adams B 3079 ; VD16 B 9076 ; J.-J. Merlo, Anton Woensam von Worms: maler und xylograph zu Köln, 1864, 435

.

5 [CONCILE DE TRENTE].

Sacrosancti et oecumenici Concilii Tridentini... Canones et decreta

. Anvers, Christophe

Plantin, 1571. In-8 (163 x 113 mm), veau brun sur ais de bois, décor argenté et à froid, encadrement d’une roulette et

décor à petits fers dans le compartiment central, dos à quatre nerfs, tranches bleues, fermoirs métalliques conservés

(

Reliure de l’époque

)

.

1 000 / 1 200

SÉDUISANT EXEMPLAIRE DE LA PREMIÈRE ÉDITION PLANTINIENNE des décrets du Concile de Trente,

augmentée des annotations du théologien Jean Soteaux et du juriste Horatio Lutius. Marque de Plantin (compas et

devise « Labore et Constantia ») au titre, avertissement de Plantin au lecteur.

TRÈS ÉLÉGANTE RELIURE D’ALLEMAGNE DU SUD en veau brun sur ais de bois, encadrement d’une roulette aux

motifs Spes, Fides et Fortit[udo], due à un atelier très proche du Relieur de Johann Jakob Fugger ou d’Heinrich

Peisenberg (nommé en

1572

Hofbuchbinder

à Munich pour le comte Albrecht Von Bayern), ou encore du relieur

d’Augsbourg Caspar Horneffer.

L’exemplaire a appartenu à un lecteur contemporain passionné qui a porté plusieurs inscriptions sur le titre (citation

de Saint Luc « Qui vos audit me audit », « Unum est necessarium », … « Post industriam scientia »). La même main a

élégamment marqué de très nombreux passages d’une croix, fréquemment surmontée de N

a

(pour

Nota

?).

Prov. Château d’A***

Légère mouillure dans la marge supérieure du cahier final, manque le dernier f. blanc. Quelques taches sur les plats de

la reliure, habiles restaurations aux coiffes, mais très bel exemplaire.

Voet 905 ; Einbandatabank r003165, r003006, r003234.

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