- CATALOGUE de desseins, estampes, livres d’estampes &c. du Cabinet de M. de ***.
Paris, Joullain, 1773.
- CATALOGUE des tableaux, desseins originaux des trois Écoles, estampes montées & non montées, terres cuites,
bronzes, marbres précieux, porcelaines montées, laques anciens, meubles de Boule, bijoux & autres objets de curiosité.
Provenant du cabinet de M. ***.
Paris, Chariot, 1773.
- CATALOGUE de tableaux, de différentes Écoles, de Flandre & d’Italie, & plusieurs estampes des mêmes Écoles, tant
encadrées qu’en portefeuille.
Paris, Michel Lambert, 1773.
Parmi les catalogues présents dans le volume, citons d’abord celui de la marquise de Pompadour, décrivant 99 pièces :
54 tableaux de
Natoire, Huet, Parrocel, Oudry, Bachelier, Boucher,
etc., 6 miniatures, pastels et dessins, ainsi que 39
estampes, dont la plus grande partie de l’Œuvre gravé de
Watteau
et de
Chardin
. Figurent aussi ceux de
Baudouin,
peintre de l’Académie royale, et de
Jean-Baptiste de Troy,
directeur de l’Académie de France à Rome à partir de 1738.
Rousseurs sur le catalogue n°1.
76 MONTÉCOT FRAIROT (Jean-Baptiste). Dissertatio medica de viribus vitalibus. Pro baccalaureatus Gradu
consequendo.
Montpellier, Veuve Jean Martel, 1764.
Plaquette in-4, maroquin rouge, double filet doré, dos richement
orné à la grotesque, roulette intérieure, tranches dorées (
Reliure pastiche moderne
).
2 000/3 000
€
Édition originale de cette thèse sur les forces vitales et leur influence sur la durée de la vie humaine, soutenue le 10 février
1764 à la faculté de Montpellier. Elle est dédiée à Madame de Pompadour,
Dame du Palais de la Reine.
F
ACE À CETTE DÉDICACE FIGURE DANS L
’
ÉDITION UNE TRÈS JOLIE ÉPREUVE SUR SATIN DES ARMOIRIES DE LA MARQUISE DE
P
OMPADOUR
, gravées en taille-douce par
Jubert
.
Originaire d'Ormancey en Champagne, l'auteur utilisa les travaux de Bernoulli ainsi que les tables de mortalité de
Kerseboom (1732) pour établir une
tabula
numérique du rapport entre la vitesse de la circulation du sang, l'âge et les
différentes maladies.
On a ajouté à la fin une
Lettre
imprimée du comte de Saint-Florentin à M. Imbert, chancelier de l'université de médecine
de Montpellier, au sujet du don que Louis XV fit de son buste à ladite université (un feuillet), ainsi que la description
de l'
Inscription à mettre en bas du Buste du Roi
(un feuillet). Ce buste est évoqué par Montécot dans son épître
dédicatoire :
Il
[l'ouvrage]
sort d'une Ecole dont la célébrité remonte à plus de huit cens ans, & que le Roi vient d'honorer
de la marque la plus éclatante & la plus flatteuse de sa bienveillance par le don de son Buste.
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