Page 108 - Bodin 20 MAI 14.indd

Version HTML de base

106
292.
Louis FAIDHERBE
(1818-1889) général, gouverneur du Sénégal, il commanda l’Armée du Nord en 1870-1871.
L.A.S., Paris 4 mars 1875 ; 3 pages in-8.
100/150
S
UR
L
ORIGINE
DE
SON
PATRONYME
: « il résulterait de documents je possède que le nom de Faidherbe ou Faydherbe ou encore
Fayd’herbe est un nom francisé et qu’au 16
e
et 17
e
siècle il s’écrivait Federbe ce qui semblerait lui donner une origine germanique ».
Un savant lui a indiqué la racine « fed-erbe », qui signifierait fief héréditaire ou héritier de fief ; mais il doute du bien-fondé de
cette hypothèse. « Je voudrais savoir si la famille des sculpteurs de Malines écrivait son nom Fayd’herbe dès le 17
e
siècle. Mon
bis-ayeul écrivait son nom Federbe. En 1725 le gouverneur de Fort-Dauphin à Madagascar signait de Federbe comte de Mandave ;
les descendants de cette famille écrivirent leur nom Feydherbe et Fayd’herbe »...
293.
Agathon, baron FAIN
(1778-1837) secrétaire de Napoléon I
er
. L.A.S., de la Fontaine de Brétigny 29 juillet 1814,
au baron de V
ITROLLES
à Paris ; 1 page in-4, adresse.
60/80
Il le remercie d’être intervenu auprès du ministre de l’Intérieur en faveur de ses deux enfants, « élèves du gouvernement au
Lycée d’Henri IV »...
294.
FINANCIERS
. L.A.S. et 2 L.S. ; 2 pages in-fol. avec adresse, 1 page in-4, et 1 page et demie in-4 avec adresse et
cachet cire rouge aux armes, les deux premières montées sur onglets (avec cachets de collection
Archives Victor de
Swarte
) dans un volume in-fol. dos vélin (rel. usagée).
1.000/1.200
B
EL
ET
RARE
ENSEMBLE
DE
GRANDS
FINANCIERS
.
* Claude de B
ULLION
(1569-1640, Surintendant des Finances, président à mortier du Parlement de Paris). L.A.S., Rueil
31 août, au cardinal de L
A
V
ALETTE
, intendant général de l’armée du Roi. L’affaire du demi-quartier des compagnies de gendarmes
est réglée. « Quant au fonds de la monstre j’estime qu’il est tel que VE aura subjet de contentement y ayant encores en fonds de
la monstre derniere de dix-huit mil ll auquel nous n’avons touché. D’ailleurs nous estimons qu’aurez avec la monstre les III
c
mil
ll de M. le Duc de Veymar et que par ce moyen on remettra entre les mains du commissaire de l’extraordinaire les vingt mil escus
qu’il dit avoir advancez […] Pour les bleds on faict l’impossible pour en faire voiturer à Nancy et à Mets affin que les puissiez tirer
de l’un de ces deux lieux »…