96
On joint :
– VERLAINE (Paul).
Fêtes Galantes
. Paris, Helleu,
1919
. In-
4
, bradel cartonnage blanc, tête dorée, doublure et gardes de
soie moirée rose, couverture et dos, chemise et étui (
Reliure de l’époque
). Édition ornée de
31
lithographies originales de
Charles Guérin. Tirage à
310
exemplaires, celui-ci sur vélin, le n°
69
, signé par l’artiste. Il est enrichi d’une suite sur chine.
Étui fendu.
279 NERUDA (Pablo). El sobreviviente visita los pajaros. S.l.,
Le Vent d’Arles, 1972.
In-4 oblong, en feuilles, couverture.
4 000 / 5 000
Édition originale de ce poème de Pablo Neruda, avec la traduction en regard par Jean Marcenac, illustrée de
2
eaux-
fortes signées par
J
OAN
M
IRÓ
.
Tirage à
175
exemplaires, celui-ci sur vélin de Rives signé par le poète et l’artiste.
Légères taches au premier plat de couverture.
280 NERVAL (Gérard de). Sylvie.
Paris, Vollard, 1938.
In-4, en feuilles, chemise et étui.
500 / 600
Édition illustrée de
38
eaux-fortes en couleurs de
Pierre Laprade
.
Tirage à
250
exemplaires, celui-ci un des
220
sur vergé d’Arches, enrichi d’une suite de
16
cuivres en noir, à pleine page.
On joint le même ouvrage, dans une autre édition :
– Paris, Jean Porson,
1943
. Édition illustrée de
46
pointes-sèches originales de
Michel Ciry
. Exemplaire sur vélin pur chiffon
du Marais enrichi d’une suite avec remarques, d’un cuivre et du prospectus.
281 NERVAL (Gérard de). Sylvie.
Paris, chez l’Artiste, 1942.
Grand in-8, en feuilles, couverture, chemise et étui.
200 / 300
Édition illustrée de
48
eaux-fortes, dont
7
hors texte par
Paul-Adrien Bouroux
.
Tirage à
168
exemplaires, celui-ci un des
17
sur japon impérial, contenant
2
suites des premiers états et remarques sur
papier ancien, le n°
17
. Il est enrichi d’un lavis original, à pleine page, signé.
Carteret Illustrés IV, p. 304
.
282 PARROT (Louis). Paille noire des étables.
Paris, Robert Laffont, 1945.
In-8, en feuilles, couverture.
150 / 200
Édition originale illustrée de compositions de
Valentine Hugo
.
Un des quelques exemplaires d’auteur.
Envoi autographe signé de l’auteur au peintre Gérard Vuilliamy et son épouse Cécile, fille d’Éluard, daté
1946
: “en
souvenir des mauvais jours où nous vivions tous cette histoire et en souhaitant de tout cœur qu’ils connaissent une vie
nouvelle, faite de beauté et de bonheur”.




