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447. Henry de MONTHERLANT . N otes et brouillons autographes ou autographes signés ; environ 70 pages, formats divers, sous chemise

autographe. 600/700 Ensemble recueilli sous une chemise étiquetée Vrac. Notes en train .

On y trouve notamment : Variante au poème liminaire du Chant funèbre  : « à un aspirant tué »  ; projet de bibliographie (1925) ; brouillon de contrat pour une édition allemande des Bestiaires (1929) ; Marie Noël et Mathilde Pomès , fragment d’article (1934) ; notice autobiographique (vers 1935) ; fragments d’une conférence sur son œuvre ; note à ajouter aux Textes sous une occupation (1952) ; fragments des Garçons  ; La Nuit de mai  ; Une pendaison à Tunis  ; minutes de lettres (dont une relative à l’affaire Alice Poirier) ; pages consacrées à Racine, Pascal, Mariano A ndreu , la littérature féminine… O n joint 3 feuillets de brouillons se rattachant à la première version de La Ville ou Les Garçons (vers 1929) ; plus un tapuscrit : Le Cinquième Hiver (1944) ; et 2 L.S. à lui adressées par Roger N imier (1955-1956).

448. Henry de MONTHERLANT . 20 L.A. (minutes), 1929-1960 ; 22 pages in-4 ou in-8 (la plupart au dos de lettres à lui adressées ou de

fragments de tapuscrits ou d’épreuves). 300/400 Brouillons de lettres à Simone B erriau (espoir de voir Malatesta au Théâtre Antoine, 1950), Henriette C harasson (réponse à la L.A.S. jointe, la félicitant sur sa défense de la littérature féminine, 1950), Alphonse de C hâteaubriant (dédicace, 1933), C. D elgado -C halbaud (relative au général Delgado, [1930]), Roger D urand ( jugement porté sur son roman « démoralisant », 1952), Georges H érelle (réponse sur la L.A.S., 1932), Loys M asson (1951), Pierre M azars (évoquant Henri Mondor, 1960), Anatole de M onzie (il a lu Destins hors série et Discours en action , 1930), Georges R obert (dénonçant une dactylographe recommandée par la Société des Gens de Lettres, 1950), Jean-Louis V audoyer (il a terminé Père et fls , devenu Plus que le sang , et commencé « une œuvre qui montera jusqu’au ciel », 1943), Michel V intron (thèse sur son œuvre dramatique, 1950), etc.

449. [ Henry de MONTHERLANT ]. 14 L.A.S. à lui adressées, 1958-1972. 180/200

Gérard B auër (1963, parlant de d’Annunzio, de Barrès, et de l’Académie Goncourt), André B rincourt (sur Le Cardinal d’Espagne ), Henri C louard (1958, sur Don Juan ), J.-F. D evay (égratignant Peyreftte), Pierre E mmanuel (1971, à propos d’ Un assassin est mon maître ), André G eorge (6, 1965-1969), Christian M ichelfelder (2, 1958, sur Le Maître de Santiago et Don Juan ), Henri P etit (1972, sur La Marée du soir et

La Tragédie sans masque ).

450. Anna de NOAILLES (1876-1933). L.A.S., Mardi [30 janvier 1923], à Léonel de L a T ourrasse à Saint-Germain-en-Laye ; 2 pages obl. in-8,

enveloppe. 120/150 Elle accepte de fgurer dans le comité de la Société des Amis du Vieux Saint-Germain. « Dans Les Éblouissements vous trouverez ce sentiment de prédilection que m’inspire toujours l’Île de France, et l’éternelle rêverie qui émane des paysages et des hommes que vous protégez avec un bienfaisant amour »...

451. Charles nodier (1780-1844). L.A.S., Paris 27 août 1823, à un « cher et noble ami » ; 2 pages in-4. 400/500

C urieuse lettre à un magistrat . « Feu M. Puech de S t Hippolyte du Gard, père de mon ami, avoit été contraint par quelque embarras de position qui ne venoit point de son fait, à passer la propriété de son domaine de Favantine, c’est à dire du reste de sa fortune, sous le nom de sa flle alors veuve Sallandre, maintenant femme La Folie ; à la mort de son père, celle-ci ayant détruit la contre-lettre qui établissoit cette fction, elle resta propriétaire de la terre qui lui étoit assurée par ce prétendu contrat de vente, à l’exclusion de son frère. On ne manque pas de moyens d’établir en justice que la propriété du domaine de Favantine n’est jamais sortie réellement des mains du vendeur supposé, mais cette démonstration qui établiroit d’une manière irrésistible la fraude et la spoliation dont mon ami est victime, répugne à la délicatesse de ses sentimens. Il aime donc mieux renoncer à sa fortune que de compromettre le nom d’une sœur coupable »… Ses amis et ses conseils lui ont suggéré de recourir à « la puissante médiation de l’infuence religieuse ou de l’infuence morale », sur la conscience de sa sœur ; « dans l’absence totale de principes qui puissent assurer le succès de la première, il a imploré de vous par mon intercession l’entremise de la haute magistrature, agissant seulement comme patrone des intérêts moraux de la société, et tutrice naturelle des bons et des justes, contre les fourbes et les pervers. Il ne s’agit donc pas […] de l’extorsion d’un aveu forcé, arraché par le pouvoir, mais de la remontrance paternelle du magistrat qui emploie une autorité toute pieuse et toute bienveillante à empêcher l’accomplissement du mal pour ne pas être obligé de le punir. C’est de la justice préventive  »…

452. Silvio PELLICO (1789-1854). P oème autographe signé, L’anima e Dio  ; 1 page in-8 (lég. piq.) ; en italien. 300/400

Poème de 2 quatrains :

« Dio che all’umana polvere Ogni virtù comandi, Tuoi cenni son si grandi ! »…

Au verso, poème a.s. en latin par Antonius M irabelli , Anima et Deus .

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