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Mercredi 18 mai 2016

Livres, Photographies et Instruments

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MAIZEROY

(René). La mer.

Paris, Georges Petit, [1895]. In-folio, reliure

éditeur demi-toile verte à coins, plats parchemin (coins et coiffes

émoussés, accident au dos, qq. brunissures sporadiques, des planches

manquantes).

Ouvrage illustré de nombreuses figures dans le texte par Louise Abbema

et Georges Clairin ; en outre, sur les 6 héliogravures et 24 eaux-fortes

hors-texte, 8 sont manquantes ; l’on trouve toutefois les

4 planches

originales de Bracquemond

(dont la couverture).

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MALHERBE (François de).

Les poesies [...]. Seconde édition.

Paris,

Claude Barbin, 1689. In-12, (24), 585, (29)pp., pleine basane de l'époque,

dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, tranches rouges (mors fendus,

coiffes inférieures arrachée, coupes et coins frottés) (reliure usée).

Seconde édition des œuvres de Malherbe procurées par Gilles Ménage. A

l'instar de la première, parue en 1666, les poésies sont accompagnées

d'observations qui s'étendent sur plus de 300 pages. Cette nouvelle édition

est tronquée du discours de Monsieur Godeau, mais à la fin de la préface,

l'éditeur annonce des "additions et changemens". Les «

Observations de

Mr Ménage sur les poésies de Malherbe

» constituent une source de toute

première importance pour la connaissance de la langue française du

Grand Siècle puisque le commentateur propose principalement une lecture

lexicographique, grammaticale, linguistique et historique des poèmes de

l'initiateur du classicisme français. Sur la page de titre, un ex-libris

manuscrit, daté de 1713, de "l'archevêque" ; et sur la première garde,

ex-

libris manuscrit du XVIIIe de la bibliothèque "d'Henri Richer"

, poète et

dramaturge français de la première moitié du XVIII siècle.

Graesse, IV, P. 344.

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MALHERBE

(François de). Poésies.

Paris, Barbou, 1757. In-8, veau glacé

olive, dos lisse orné aux petits fers, tranches dorées

[Bozérian]

(rel. frottée

et insolée, coins émoussés, petite fente en tête du mors sup. ; premiers et

derniers f. un peu brunis).

Le frontispice d’origine manquant a été remplacé

par une gravure du XIXe siècle. Ex-libris armorié gravé.

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