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[CRASSELLAME (Marc-Antonio)].

LA LUMIÈRE SORTANT PAR SOI-MÊME DES TÉNÈBRES. Ou véritable théorie de

la Pierre de Philosophes, écrite en vers italiens, avec un Commentaire ; le tout traduit en françois par B. D. L. (Bruno de Lansac).

Seconde édition, reveuë & augmentée de CLIII aphorismes chymiques.

PARIS, Laurent D’HOURY, 1692.

Un volume, in-12, de

(11) ff., 336 pp., 33 pp., (2) ff. (avertissement du libraire), puis de la p. 7 à la p. 61(Lettre d’un philosophe), puis 9 pp. (La

Lumière des Mercures), (1) p. (Mémoire de quelques livres de Chymie), pleine reliure ancienne en basane havane. Dos à 4 nerfs

orné de filets dorés et portant une pièce de titre en maroquin vieux rouge, tranches rouges. Reliure légèrement fanée avec les

coins émoussés, petit manque en pied du dos, quelques parties de texte encadrées à la mine de plomb, rarement à l’encre.

800/1 000

Relié à la suite comme indiqué : Lettre d’un philosophe sur le secret du Grand Œuvre… (par Limojon de Saint-Didier. (Paris, d’Houry,

1686). Le titre manque.

Caillet, 6872 et 6695.

Ce petit texte en trois chants composé par l’italien Marc-Antonio Crasselame et le commentaire du traducteur en français fait par Bruno de

Lansac au XVII

e

siècle, comportent un vif intérêt sur un certain état d’esprit nécessaire à la pratique de l’alchimie. Il est ici rare, complet

des aphorismes.

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