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Kapandji Morhange
Élégante rose des sables, ornée d’une fleur de lys dans la direction du
nord, gravée sur la boussole. Signature sur le support carré.
13,8×13,8 cm. Diam. : 11 cm.
Voir la reproduction.
800 / 1000 €
188.
BOUSSOLE SIGNÉE GARY, CIRCA 1750.
Boussole en laiton dont l’aiguille est montée sur agathe, limbe gradué
en métal. Elle est conservée dans son étui en chagrin noir.
Étui usé.
3×14×14 cm. Diam. boussole : 12,8 cm.
Voir la reproduction.
600 / 800 €
CARTES, GLOBES, MAQUETTES, TABLEAUX ET INSTRUMENTS DE NAVIGATION
185.
BOISSEAU
(Jean). Description de l’opulente et magnifique
ville de Venise.
À Paris, chez Jean Boisseau, [1648]. Une planche gravée
sur cuivre, env. 27,5×69,5 cm, 2 petits trous dans la planche et restaura-
tion manuelle à l’encre du sujet, sous encadrement moderne.
Rarissime et spectaculaire vue de Venise et des îles environnantes
(Murano, Burano, Torcello et Mazorbo), offrant un étonnant détail
de la composition architecturale de la cité des Doges. La lagune est
animée.
Cette gravure fut publiée dans un atlas devenu très rare, dont on ne
conserve plus les planches qu’à l’état isolé. Mireille Pastoureau n’en
signale qu’un exemplaire complet, dans une collection privée, et une
autre lacunaire, à la Bibliothèque Doucet. Il s’agit duThéâtre des citez,
publié à Paris entre 1642 et 1648 par Jean Boisseau, éditeur et dif-
fuseur de cartes et de vues géographiques, qui acquit sa notoriété en
publiant l’importanteTopographie françoise de Claude de Châtillon
en 1641.
Non examinée hors du cadre.
(Pastoureau, Les atlas français, Boisseau 1, n° 35).
1200 / 1500 €
186.
École française du XVIII
e
siècle.
Construction d’une forte-
resse en bord de mer.
Huile sur toile. 54,8×109 cm. Nombreuses restau-
rations. Voir la reproduction.
5000 / 6000 €
187.
BOUSSOLE D’ARPENTAGE SIGNÉE BION,
XVIII
e
siècle.
Instrument en laiton, verre et métal argenté. Elle se distingue du cercle
d’arpentage par les pinnules de son alidade qui sont solidaires de la
boussole et non indépendantes. Ainsi, l’angle mesuré est indiqué par
la position de l’aiguille magnétique.
Nicolas Bion (1652-1733) fut ingénieur du Roi pour les instruments
de mathématiques.
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