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18

38.

LOUIS XVI

(1754-1793). 9 P.S., plus 22 pièces concernant la

Liste civile

, 1776-1792 ; 144 pages la plupart

in-fol., le tout relié en un vol. in-fol. demi-basane fauve, pièce de titre maroquin rouge sur le plat sup.

Liste

Civile Règne de Louis XVI

.

4 000/5 000

Recueil de documents sur la liste civile du règne de Louis XVI

.

8 ordres de paiement signés par

Louis

XVI donnés au Trésorier Général de la Liste civile, Jean-Baptiste

Tourteau

de Septeuil

, contresignés par l’intendant de la Liste civile, Arnaud de

La Porte

(une par le secrétaire d’État à la Maison

du Roi, François-Emmanuel

Guignard de Saint-Priest

) : 24.000 livres au S. de

Liancourt

, GrandMaître de sa Garde-

robe, pour supplément de dépenses (25 février 1791) ; 475 livres à Gentil, « Portemanteau de ma Tante Victoire », « pour

suplément de nourritures et entretennement » (15 décembre 1790) ; 24.000 livres à Mme de

Donissan

, « Dame d’atours

de ma Tante Victoire », pour les dépenses de la garde-robe de Madame Victoire (1

er

avril 1791) ; 750 livres à

Besnard

,

pour « ses dépenses pour l’entretien de ma Pendule » et son logement (23 février 1791) ; 10.000 livres au Prieur des

Feuillants, « tant pour la gratification que j’ai accordée à douze des Religieux de sa maison à raison de 600

ll

chacun pour

le service qu’ils ont fait à la chapelle de mon Palais des Thuileries depuis le premier Juillet 1790, que pour remboursement

des frais dud. service » (1

er

juillet 1791) ; 1.500 livres à

Arnoux

, « compositeur et conducteur des machines de théâtres

pour les spectacles de la Cour », pour ses appointements (19 avril 1791) ; 350 livres à

Dassy

, « médecin des Château et

hôpitaux de Fontainebleau » pour ses appointements (1

er

septembre 1791) ; 500 livres « au S. Caraffe [

Caraffa

] l’un des

24 violons de ma Chambre », pour « étrennes et bonnes fêtes » à dix desdits violons (3 avril 1792).

État nominatif « pour les dépenses de l’Illumination des Champs Elisées du 25 septembre 1791 », avec précision

du métier de chacun (maçon, charpentier, menuisier, tapissier, peintre, tourneur, traiteur etc.), le tout se montant à

28.092 livres, signé par

Louis

XVI et Laporte (14 mai 1792).

2 quittances comptables du Département des Bâtiments du Roi (travaux de peinture et dorure au château de

Versailles, 1789-1790). 2 quittances signées par

Le Roux

, secrétaire de la Chambre du comte d’Artois (1779, 1788).

Extrait du rôle général de l’extraordinaire de l’argenterie de la Chambre du comte d’Artois, signée par le Premier

Gentilhomme de la Chambre, le duc de

Maillé

(9 janvier 1785). État de la dépense faite pour les Écuries du comte

d’A

rtois

, signé par le futur

Charles

X (1

er

janvier 1784). Ordre de paiement à trois musiciens, signé par Alexandre

d’A

umont

« cy devant le Duc de

Villequier

 » (12 avril 1791). 2 rôles des journées d’ouvriers qui ont travaillé à la

pépinière du Roi à Vincennes en janvier et mars 1791, signés par l’abbé

Nolin

, directeur, et par

Mique

et

Guillaumot,

intendants généraux des bâtiments. 2 états de récapitulation de la dépense pour le service de « la Maison Bouche du

Roy » et la dépense ordinaire de sa Maison pour un trimestre de 1786, signés « Louis » (secrétaire) et par le secrétaire

d’État à la Maison du Roi, le baron de

Breteuil

. Ordre de paiement de 903 livres à Samuel Hirsch « pour avoir

détruit dans les châteaux, fermes et jardins de Brunoy, les rats, loirs, souris, mulots », signé par Monsieur, Louis-

Stanislas-Xavier, comte de Provence [

Louis

XVIII] (1776). État de la dépense extraordinaire pour des deuils pris par

le Roi en 1786 « à cause de la mort du Roi de Portugal, de celle du Roi de Prusse et de celle de la Princesse Amelie

d’Angleterre », signé par le baron de Breteuil, Mesnard de Chouzy, Mercier de La Source, La Chapelle, Thierri de

Villedavrai, Papillon de La Ferté. État émargé des sommes que Monsieur ordonne être payées aux officiers et Suisses

de sa Garde pour leur logement en 1779, signé par le comte de Provence. État des « Dépenses ordonnées par la Reine »

Marie-Antoinette

en 1786 pour l’extraordinaire des Menus Plaisirs (22 p. en 5 chapitres : comédies et spectacles,

musique, concerts, bals…), signé par le baron de Breteuil, Mesnard de Chouzy, La Chapelle, Thierri de Villedavrai,

Papillon de La Ferté. État détaillé des sommes allouées chaque jour à la paneterie, échansonnerie, cuisine, etc. pour la

Maison de la comtesse d’Artois au mois de décembre 1776 (impr., signé à chaque page par d’Aiguillon et Mercier), puis

des autres dépenses de sa maison, signé par le comte de Montbel, d’Aiguillon et Mercier ; et « État des Revenans-bons

de la dépense ordinaire de la Maison de Madame la Comtesse d’Artois pendant le quartier d’octobre 1776 » pour ses

dépenses de Table, se montant à 122.620 livres, signé par les mêmes.

39.

LOUIS XVI

(1754-1793). P.S. (secrétaire), Paris 10 mai 1790 ; contresignée par le ministre de la Guerre

Jean-Frédéric de

La Tour du Pin 

; vélin oblong in-fol. en partie impr. (encadrée).

80/100

Lettres de chevalier de l’Ordre militaire de Saint-Louis, en faveur de Jean-Antoine du

Verdier

de

Marcillac

,

chef d’escadron dans le régiment de chasseurs de Flandres, « en considération de ses services depuis vingt huit ans »…

40.

Hubert LYAUTEY

(1854-1934) maréchal. L.A.S., 6 mai 1922, à la marquise de

Poléon Saint-Georges

,

à Paris ; 3 pages et demie in-8, en-tête

Le Maréchal Lyautey Résident Général au Maroc

, enveloppe avec

cachets encre et cachet de cire rouge aux armes.

150/200

Certes, il se souvient de Baudry, « et plus tard, de Paris où j’étais si heureux de vous voir chez vos chers parents !

Le jeune

Billecard

n’est nullement mon neveu. Il est petit-fils d’une cousine issue de germains de mon père – ce

qui nous reporte assez loin. Je connaissais à peine son père et lui je ne l’avais jamais vu quand en 1912 il est venu se

présenter à moi pour venir au Maroc où je l’ai eu un an. C’est un gentil garçon, instruit et en train, mais fort étourdi et

léger qu’il m’a fallu souvent remettre au point. C’est vous dire qu’il n’y a à tenir aucun compte de moi pour ce qui le

concerne et je n’admettrais pas un instant qu’il se réclamât de moi […] je n’entends pas qu’il se serve de mon nom »…

On joint

des lettres patentes de Louis XVI en faveur d’Antoine Feyt, marchand mercier, confirmant sa jouissance

d’une maison rue de Cléry, Paris 1787 (vélin avec sceau de cire brune).