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revient sur ce que nous avions arrêté hier soir ensemble ; il avait

oublié un engagement antérieur, dit-il. Voilà qui est fini. Je crois

que nous ne dînerons plus jamais, puisqu’il est impossible de

nous réunir. Je passerai un de ces soirs chez vous pour vous

serrer la main, au risque de ne pas vous trouver »…

800 / 1 000

409

Émile ZOLA

.

L.A.S., L’Estaque 22 septembre 1877, à Antony

V

alabrègue

 ;

1 page in-12.

Il décline l’invitation à la fête félibréenne organisée par la Cigale

de Paris : « Je vais beaucoup mieux, mais je ne puis pourtant

me rendre à Arles. J’ai chargé

C

oste

de m’excuser auprès

de M. Maurice

F

aure

, en le remerciant. Je vous remercie

également de votre bonne entremise »…

400 / 500

410

Émile ZOLA

.

L.A.S., Médan 5 octobre 1880, [à Ferdinand de

G

rammont

] ;

3/4 page in-8.

« Merci, Monsieur, de la poignée de main cordiale que vous

voulez bien m’envoyer. Malgré tout mon courage, il est des

heures où j’ai besoin de la sympathie des esprits honnêtes. Et

votre lettre m’arrive comme un précieux encouragement »…

[Après l’article de Zola,

Les trente-six Républiques

, paru dans

Le Figaro

du 27 septembre 1880.]

500 / 600

411

Émile ZOLA

.

L.A.S., Médan 2 décembre 1884, [à son éditeur Georges

C

harpentier

] ; 1 page in-8 (légère jaunissure).

Son « traducteur de Pesth (langue hongroise) » a perdu les

placards 4, 5 et 6 : « Il m’écrit pour me supplier de lui donner

un double. Mais je n’ai plus d’épreuves disponibles. Je vous

en prie, envoyez lui immédiatement les placards en question ;

vous devez les avoir, et vous les ferez retirer pour vous, s’il le

faut »… Suivent les coordonnées de son éditeur hongrois, les

frères

R

évai

,

pour l’envoi. 

500 / 600

412

Émile ZOLA

.

L.A.S., Médan 15 juin 1889, à son « bon ami » [son éditeur

Georges

C

harpentier

] ; 1 page et demie in-8.

E

xposition

universelle

.

Il accepte son invitation, « mardi soir, à six heures et demie,

au restaurant roumain. Mais vous savez que vous auriez pu

choisir un restaurant de la tour Eiffel, car ma femme y est

déjà montée, et ce n’est jamais elle qui se plaint des courants

d’air ». On peut donc changer. « Mon avis, à moi, est que ce

serait beaucoup plus gentil sur la Tour. Nous irons, ma femme

et moi, à l’Exposition, vers trois heures. Si, à quatre, vous

voulez venir nous rejoindre, vous serez fort aimable »…

600 / 800

413

Émile ZOLA

.

L.A.S., [Paris 1

er

avril 1892], à Mme Georges

C

harpentier

 ; 1

page in-12, adresse (télégramme).

Il sort de chez

C

arré

qui « a été fort aimable, le Vaudeville est

entièrement à nous. La question de la représentation le soir a

été réservée : le soir, vous auriez deux mille francs de frais, le

jour, à peine quelques centaines de francs ; et vous déciderez.

Enfin,

M

ayer

est, paraît-il, très souffrant. J’ai senti que Carré

préfèrerait ne pas nous le donner. Il m’a nommé

G

éraud

, qui en

effet serait parfait »…

400 / 500

414

Émile ZOLA

.

4 L.A.S. ; 2 pages in-8 (une un peu jaunie) et 2 cartes de visite.

Lundi matin

, à William

B

usnach

, remettant un rendez-vous :

« Il faut absolument que je sorte cette après-midi. Puis j’ai

la tête si malade que le travail me fait peur aujourd’hui »…

7

janvier 1900

 : « inscrivez-moi donc comme membre adhérent,

puisque cela peut vous être agréable […] Je souhaire à la

Société une grande prospérité »… – Invitation à dîner à un

ami : « Vous nous donnerez des nouvelles de Royan où tout lle

monde doit bien se porter »… – À une amie. Il a envoyé la veille

une lettre au Président, au Ministre du commerce, à Lockroy,

à Poincaré, à Waldeck-Rousseau : « Maintenant, il n’y a plus

qu’à attendre. J’ai bon espoir »…

O

n

joint

une carte de visite autographe (remerciements) ; un

portrait photographique sur carte postale ; et une L.A.S. de

son épouse Alexandrine (autorisation pour une reprise de

Nana

au théâtre, 1912).

600 / 800

415

Émile ZOLA

.

P.A.S.

 ; demi-page in-8.

« Une œuvre d’art est un coin de la nature vu à travers un

tempérament ».

Aphorisme paru dans un article du

Salut public

le 26 juillet

1865 (avec variante) et repris dans

Mes haines, causeries

littéraires et artistiques

.

500 / 600