Manuscrits & Archivalia
284 – (Belgique, Noblesse) -
8 tableaux d'ascendance en 31 ou 23 quartiers
de jeunes nobles, reçues chanoinesses (plusieurs de prébendes de l'église
collégiale St-Amour).
[Liège ou environs ?], 18
e
s.
Sur doubles pages in-f°, extraites d'un ouvrage.
Est.
:
500/ 600 €
Ascendances des baronnes Marie
Anne de Walderdorff (certifié
en 1755) et Marie Thérèse de
Bentinck (1755), Marie Louise
d'Eÿnatten (1757), des comtesses
Marie Thérèse Fernandine de
Borchgrave (1755), Marguerite
d'Isendoorn
de
Blois
de
Cannenburg
(1756),
Marie
Thérèse Françoise de Khüenburg
baronne de Khüeness (1756),
Marie Anne Caroline de Velbrück
(1756) et de Ferdinande Théodore
Dorothée de Heÿden (inachevé).
S'ensuivent 8 doubles pages
de tableaux d'ascendance à
15 quartiers, avec armoiries peintes mais sans texte, et 2 tableaux d'ascendance pour
Marie Julienne Ferdinande baronne de Wal (1777) et Marie Isabelle Eugénie Yolande
comtesse d'Aspremont Lynden et du Saint Empire (1781).
285 – (Belgique, Noblesse) -
Lettres patentes d'anoblissement concédant le
titre de chevalier avec les armoiries à Armold van Zomberghe, capitaine de
Rupelmonde, accordées et signées par Charles Quint.
Bruxelles, 19 mars 1553.
En latin, peau de vélin, 51 x 67 cm, armoiries peintes avec rehauts d'or et d'argent (pliée en 6, cordons de soie
et de fil d'or conservés mais sceau appendant manquant, qqs faibles taches).
Est.
:
3.000/ 4.000 €
# Janssens & Duerloo, III-994 (29 mai 1553).
286 – (Belgique, Noblesse) -
Lettres patentes de noblesse accordées et signées
par l'Impératrice Marie-Thérèse à Lucie Louise-Joseph Botsout.
Vienne, 8 juin 1776.
In-f° : [8] pp. manuscrites, en français, armoiries peintes, signature autogr. de l'impératrice, enregistré et
contresigné par Jaerens, héraut d'armes, et par le baron de Cassiers, secrétaire du Trésor.
Rel. de l'époque : plein velours rouge, larges rubans jaune et noir de fermeture, gardes de papier dominoté
(myrtilles sur fond hachuré), sceau rouge appendant tenu par des fils d'argent torsadés (une face du sceau
montre l'Impératrice assise sur son trône), sous boîte de protection en fer. Sous chemise de protection en
papier à rabats (ext. sali).
Est.
:
1.500/ 2.000 €
En souvenir de son mari, Lucie Botsout, native de Mons, veuve du Brigadier des Archers
de la Garde royale mort le 29 déc. 1774, reçoit un titre de noblesse (non précisé) et ne doit
payer que la moitié des droits royaux à verser pour ces lettres patentes.




