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172
509.
Prospero Lambertini, BENOIT XIV
(1675-1758) Pape (1740).
B
ulle
papale
, Rome 3
e
des nones de janvier 1755 ; vélin
oblong in-4 environ 27 x 33,5 cm, orné de lettrines à décor végétal à la plume ; en latin.
200/250
Dispense concernant le mariage entre Charles Maurice Du Bouzet, marquis de
P
oudenas
, et demoiselle Jeanne-Françoise de Gillet de
Lacaze. Signatures de F.B. Passerini, J. Caraffa, etc. D’autres signatures sur le repli.
510.
Jean BERNADOTTE
(1764-1844) maréchal d’Empire, Roi de Suède. L.S. avec 3 lignes autographes, Odensee 2 avril
1808, à Louis-Antoine Fauvelet de
B
ourrienne
, ministre à Hambourg ; 1 page in-4.
200/250
D’après les ordres de l’Empereur, il envoie le général
D
upas
à Hambourg pour y commander la seconde ligne de son corps d’armée.
« Je l’ai prévenu qu’il auroit à vous seconder, pour l’exécution des ordres que vous recevez de S.M. & je suis certain que vous n’aurez
qu’à vous louer de vos relations avec lui. Les Villes anséatiques continuant à faire partie de mon Commandement, j’aurai souvent encore
l’occasion de vous donner de mes nouvelles »… Il ajoute de sa main des compliments pour la famille Bourrienne.
511.
Alexandre BERTHIER
(1753-1815) maréchal et ministre de la Guerre. 2 L.S., Paris 1805-1809 ; 1 page in-fol. et adresse,
et 2 pages in-4.
200/250
20 fructidor XIII (7 septembre 1805)
, à M. Faure du Serre, lieutenant de gendarmerie réformé, le nommant lieutenant de la compagnie
de la réserve du département des Hautes-Alpes...
28 mars 1809
, au comte d’Hunebourg, au sujet d’ordres « d’après les intentions de
l’Empereur » pour nommer généraux de brigade les colonels Saint-Hilaire et Morand, et généraux de division les généraux de brigade
Cosson et Dalesme, etc.
512.
Alexandre BERTHIER
. L.A.S., Schönbrunn 6 janvier 1807, au général
C
larke
; 2 pages et demie in-8 (traces d’un onglet
au dos).
500/700
Il avait prévu son désir à l’égard de Shée, et l’Empereur lui fait espérer de voir le gendre de Clarke chef de bataillon, suivant ses
volontés. « L’Emp. ma paru satisfait de ton zele – et de tes rapports – et en g
al
de son ministre de la guerre. Nos négociations n’avancent
pas – parce qu’il faut la paix qui nous convient et que nous sommes assés fort pour le vouloir – rien n’est beau comme notre armée,
rien n’est admirable comme notre artillerie comme notre parc de génie […] L’Emp. est le chef imediat de tous – il doit juger par la peine
qu’il a pour monter les choses comme il le désire celle que nous avons nous […]. Je pense que sans la lacheté de
M
onet
– les anglois se
seroient rembarqués avec la honte d’avoir echoué dans leurs entreprises sur Flessingue. Quant à Anvers s’ils sont assés hardy dy marcher
ils doivent être etablis d’importance mais ils n’en feront rien. Vous avez fait merveil, avec l’ayde de l’Emp. cependant qui vous a envoyé
à tant de fois instructions »… Il ajoute : « L’Emp. malgré l’arrivée de
C
orvisart
– jouit de la plus brillante santé »…
513.
Alexandre BERTHIER
. L.A.S., Eylau 8 février 1807 à 10 h du soir, au maréchal
S
oult
; 1 page et quart in-4 (encre un
peu passée, bulletin analytique des archives Soult joint).
400/500
A
u
soir
de
la
bataille
d
’E
ylau
. « L’Empereur M. le M
al
ordonne que demain au jour vous prenié position pour être en moyen de
déffandre l’église d’
Ewlov
. Le M
al
Ney à l’ordre de se porter sur le plateau du moulin. Sa majesté ordonne que vous prenié la commande
de la ville – que vous n’i souffrié personne et que les blessés soient evacués sur Thon »…
512
513