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On a relié à la fin six manuscrits autographes.

Le Marteau sans maître.

Manuscrit autographe signé, 1 page in-4, daté du 20 avril 1944.

Il se termine par : “

La clef du Marteau sans maître tourne dans la réalité des années 1937-1944.

Le premier rayon qu’elle délivre hésite entre l’imprécation du supplice et le magnifique amour.

Les six autres manuscrits, dont un signé, renvoient à des poèmes imprimés :

Détachement

(p. 27) ;

Les observateurs et les rêveurs

(pp. 85-86) ;

Drames

(pp. 94-96) ;

Le supplice improvisé

(pp. 98-99) ;

Sommaire

(p. 105). Certains portent des corrections.

Exemplaire parfait en reliure décorée de Pierre-Lucien Martin.

Il porte une correction autographe de l’auteur à la page 66 et il est complet du bandeau portant

une citation d’Héraclite (“

Il faut aussi se souvenir de celui qui oublie où mène le chemin

”) ainsi

que du feuillet d’annonce portant un beau texte de Tristan Tzara, deux documents montés sur

onglets à la fin.

La reliure a été exécutée pour Jean Jacobi.

(Coron,

René Char,

BnF, 2007, nº 39-42 : l’encre de Chine sur papier de Kandinsky est

conservée au Centre Pompidou.-

René Char, faire du chemin avec…,

p. 69.- Sebbag,

Les Éditions

surréalistes, 1926-1968,

nº 32 : “Il y a aussi, non signalés et hors commerce, 12 vélins teintés

paille, avec la gravure, non signés.”- Benoit,

Bibliographie des œuvres de René Char,

1964, nº 8 :

sans mention des hors commerce sur hollande Van Gelder.)

20 000 / 25 000