Background Image
Previous Page  70 / 172 Next Page
Basic version Information
Show Menu
Previous Page 70 / 172 Next Page
Page Background

68

167.

Alfred CAPUS

(1858-1922). 55

manuscrits

autographes signés

(certains de son pseudonyme

« Junius », 5 non signés), 1912-

1922 ; environ 120 pages in-4 ou

in-8.

300/400

Articles destinés à

Femina

,

Lectures

pour tous

,

Le

Figaro

,

Le Gaulois

,

Presse

de Paris

,

La Farce française

,

L’Écho

de Paris

..., et textes divers.

1912

.

Plusieurs éditoriaux pour

Femina

.

1913

. Conférence sur La Fontaine. Des

Propos de quinzaine

.

L’Art de recevoir

ses amis à la campagne

.

La Saison

de Paris

.

1919

.

La classe ouvrière est

mystifiée

.

Sortant du bolchevisme

.

1920

. Discours aux « camarades »

de l’École des Mines.

L’Horreur des

crises

.

La Réaction contre la dictature

Clemenceau. La Vie chère

.

La Cinquantenaire de la République

(dialogue).

Le Service militaire. Alexandre Millerand

.

1921

.

Le Passé

et le présent

(dialogue entre Harding et Wilson).

Le

billet de Junius

(plusieurs).

Le Monologue de Lloyd George

. –

Le Monologue de

Landru

. Etc. Plus 3 l.a.s. (minutes) aux président et membres du Conseil d’administration du

Figaro

.

O

n

joint

un dessin original à la plume d’Ernest

L

a

J

eunesse

(caricature de Catulle Mendès, dédiée à Capus), 3 dessins par Judo

Ferrières, et 2 tapuscrits (un incomplet).

167

168.

François-RenédeCHATEAUBRIAND

(1768-1848). L.A.S., Paris 2 février 1825,

à une comtesse [Esther de

S

uzannet

 ?] ;

2 pages in-4.

500/700

« J’ai déjà fait chercher [...] et ferai encore

chercher le manuscrit dont je n’ai pas le plus

petit souvenir. Dans les événements qui ont

changé ma vie depuis six mois, il m’eût été

bien difficile d’éviter le désordre inséparable

de cette position »... Pour cette raison, il se

voit « forcé de vous renvoyer votre dernier

manuscrit dans la crainte qu’il s’égare encore

dans mes papiers. Si jamais j’ai un peu de repos

et de loisir, je me ferai, Madame la Comtesse,

un grand honneur de rendre à la mémoire de

votre mari la justice qui lui est due »... [Il s’agit

probablement du chef vendéen Constant de

S

uzannet

(1772-1815).]