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Pierre Charles de

VILLENEUVE

(1763-1806), vice-amiral, «

à bord du Majestueux en raide de l’Ile d’Aix

»,

6 messidor an XII (25 juin 1804), 1 page ¼ in-4, remerciant son neveu de la part qu’il a pris à son

avancement en tant que vice-amiral. –

L.S.

des membres composant le conseil de santé de l’école de

médecine navale de Rochefort, Rochefort, 8 vendémiaire an XIV (30 sept. 1805), vignette et cachet

encre. –

L.S.

de Antoine Louis

GOURDON

(1765-1833), vice-amiral, Rochefort, 30 vendémiaire an

XIV (22 oct. 1805), vignette et cachets encre. –

L.A.S.

d’une femme adressée à son époux capitaine

prisonnier en Angleterre à bord du ponton le Sandwich à Chatham –

L.A.S. et L.S.

de François Etienne

comte de

ROSILY MIRBOS

(1748-1832), vice-amiral et directeur du dépôt général de la Marine, 1806

et 1809 –

P.S.

signée par un contremaître forestier de la marine, 15 mars 1806, visite de bois pour la

construction de vaisseaux de guerre –

L.A.S.

adressée à un prisonnier de la frégate « La Libre » enfermé

à Norman Cross en Angleterre, 1806 –

L.A.S.

de Guy Victor

DUPERRÉ

(1775-1830), capitaine de

frégate (amiral et ministre de la Marine sous Louis Philippe), Rivière de Pontrieux, 17 déc. 1806, 1 page

in-8 +

portrait lithographié

Quittance

signée par le consul de France à Rome, 4 août 1808, au sujet

de dépenses de la marine. –

L.A.S.

de Frédéric BARBIER, soldat à la 1

ère

compagnie du 4

e

bataillon du 8

e

régiment d’infanterie de ligne, Brest, 16 août 1810, avec

superbe vignette de navire

, adressée à son

grand-père dans le Haut Rhin : «

(…) nous sommes arrivé à Brest en Bretagne, sant que la marche mai fait aucune

penne, sur dergnier port de maire de France et le plus baux, et que j’ai vut des jolly bâtiment et vessaux telle que vous le

voye sur la lettre, et aussi pour vous faire savoir que nous ne resterons plus long temps ici nous avons l’hordre pour partir le

27 du courant pour aller rejoindre notre régiment qui est en Espagne…

»

100-200

235

[

Consulat/Empire – Politiques, imprimés et divers

] + de 90 pièces, 1800-1814.

Lot de + de 90 documents (L.S., LA.S., P.S. ou imprimés). Signatures, vignettes et marques postales à

découvrir.

CARTE

d'invitation à la

CEREMONIE DU SACRE ET COURONNEMENT

(2 décembre 1804)

; carte in-16 impr. recto-verso, avec le cachet encre rouge du «

Grand Maître des Cérémonies

». Billet émis

par le Procureur Impérial. –

P.S.

d’Elie Joseph

PAPIN

(1760-1825), général royaliste, « au quartier

général de Bordeaux », 4 mars 1801, beau cachet encre de l’armée royale de la Guyenne. Nomination

d’un Bordelais comme chef d’escadron des chasseurs dans l’armée de Guyenne. [Papin était négociant à

Bordeaux mais ne s'occupa réellement que du rétablissement de l'ancienne monarchie des Bourbons,

qu'il croyait seule capable de rendre la France à son ancienne prospérité. Ce fut au milieu de nombreux

périls qu'il créa dans ce but, à Bordeaux, une association qui, sous le nom d'

Institut royaliste

, lutta

longtemps contre les divers gouvernements révolutionnaires qui se succédèrent au pouvoir. La plupart

des chefs de cette association ayant été découverts et arrêtés par la police du Directoire, en 1798, Papin

réussit à la réorganiser en 1802 à la demande du général Henri Forestier ; ce dernier préparant à la

demande du Comte d'Artois, la révolte de l'Ouest de la France. Dans la nouvelle organisation, Papin fut

chargé de l'armée de Guyenne. Mais le complot de Forestier fut découvert en 1805. Papin, obligé de

prendre la fuite, fut traduit par contumace devant un conseil de guerre, à Nantes, et condamné à mort le

23 frimaire an XIV (décembre 1805), comme ayant concouru à des projets que dirigeaient les ennemis de

la France, et particulièrement l'Angleterre. Il se réfugia en Amérique] –

1 ex.

«

Journal des défenseurs de la

Patrie

», 3 juillet 1800 –

1 ex.

«

Journal des débats…

», 1801 –

6 ex. du périodique

«

Le Parisien

», 1801 –

Traité de paix

entre l’Empereur roi de Hongrie et de Bohême et le premier consul, 9 févr. 1801, impr. à

Besançon 4 pages in-4 –

L.A.S.

de Claude Julien

MARAS

(1764-1831), député au corps législatif, Paris,

29 pluviôse an IX (18 fév. 1801) –

L.A.S.

de Joseph François

BALLA

(1737-1806), député, Vigan, 13

germinal an IX (3 avril 1801) –

L.A.S.

de Pierre Louis

ROEDERER

(1754-1835), conseiller d’état, 9

nivôse an X (30 déc. 1801), 1 page in-8 : «

Citoyen ministre, pardonnez mon verbiage. Il faut permettre la diffusion

en faveur de l’effusion. Il y a dans ce que je vous écris deux ou trois choses qui pourtant méritent quelqu’attention. Il n’y a

pas encore d’ordre donné pour le voyage de Lyon dans le conseil d’état (…) Personne ne sait encore le jour du départ du 1

er

consul…

» –

Proclamation

impr. et signée par Jean Antoine

CHAPTAL

(1756-1832), ministre de

l’Intérieur, 18 mars 1802 –

L.A.S.

de Mathieu

LECOINTE-PUYRAVEAU

(1764-1827), député, 5

germinal an X (26 mars 1802) –

Affiche

«

Senatus Consulte qui proclame Napoléon Bonaparte, premier consul à

vie

», 14 thermidor an X (2 août 1802), impr. à Mâcon, 53 x 41,5 cm –

Placard

«

Loi relative aux recéleurs de

Georges et autres brigands

», 9 ventôse an XII (1

er

mars 1804), impr. à Besançon, 45 x 34,5 cm –

L.S.

de

Joseph

FESCH

(1763-1839) archevêque de Lyon, Rome, 5 germinal an XII (26 mars 1804) –

L.A.S.

de

Joseph

PEMARTIN

(1754-1842), député au corps législatif, Oloron, 9 thermidor an XII (28 juillet

1804) –

L.S.

d’Albert Charles

POTTIER

(1755-1829), député sous la Convention nationale et