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became professor of Biblical studies and Hebrew. The long letter (2 pp.) is addressed “An die...
frome widwe Wendell van Tryst myn liue nicht wonafftig tho Nimmegen in die bröder straet”.
The text, mainly on devotional matters, also
explicitely refers to the situation in Nijmegen
: “Ich
hoep dat dy van Nymmegen nu eens verlost syn van dy oprurige Goesen vnd ketters, ende dat
die Catholici nu meer angesteken syn sich vaster an den alten & alleinselichmakenden geloue(n)
halden sulle(n)”.
432 CHARLES de LORRAINE
- Sign. aut. comme duc de Mayenne (1554-1611) sur 2 lettres mss. à
Mr de Crenay [Crehaye, Crene], lieutenant de sa compagnie, s.l., s.d., 1 p. sur 1 f. (plis et qqs rouss.)
et Reims, 19 mai, 1 p. sur 1 double f. (mouillures), in-folio.
€ 150/250
Au gentilhomme de la chambre du duc et lieutenant de sa compagnie.
1.
“Monsieulx de Crehay, iay recu grand plaisir... de voz bonnes nouvelles...”. Il le remercie pour
4 lapins, il va faire un voyage, il a pris contact avec le sieur de Ste Fortunade. En bas, d’une autre
écriture (autogr.?): “Monsieur de Crene ie suis prie de Monsieur de Ste Fortunade pour une place
d’archer, de la quelle il vouldroit bien que celuy pour lequel il vous escrit (...)”.
2.
Monseigneur le cardinal et monseigneur d’Aumalle sont en bonne santé. “Je commoncay hier
à montér à cheval et prendre les armes pour m’y addresser sans toutefois caisser les lettres que
j’espere diligemment continuer avec telz exercices et dautant plus que monseigneur le cardinal ma
promis que cy apres il sera luy mesme mon precepteur (...)”. Provenance: Hobacq, architecte de la
ville de Calais et un des descendants du duc.
~ Importante correspondance de la famille de Guise pendant les guerres de religion ~
433 [Charles de Lorraine]
-
Sign. aut. sur 7 lettres mss
à Mr de Crenay [Crehaye, Crene], lieutenant
de la compagnie de Charles de Lorraine, duc de Mayenne (1554-1611), in-folio.
€ 300/500
1. Anne d’Este
(1531-1607), princesse franco-italienne, femme de François de Lorraine, duc
d’Aumale et de Guise et mère de Charles de Lorraine, s.l., 3/4?/1564, 1 p. sur 1 f. (mouill., plis, qqs
pet. manques de papier). Son fils Charles est gravement blessé et il sera “impossible d’assister à la
monstre(r) de lad(ite)...”.
2. Louis de Gonzague
(1639-1595), prince italien de la maison de Gonzague qui régnait au XVIe
siècle sur le duché de Mantoue, duc de Nevers, Padoue, 22/6/1561, 1 p. sur 1 double f. (qqs souill.).
Il le remercie pour les nouvelles et il a commencé à faire “des monstres, toutesfoys ie n’ay pas
encore eu la resolution du pris et aussi tost que ie n’auray la responce, ie vous envoyeray les
dictes monstres... Je seroys bien d’advis que le champ des sayez, ce fust de velour noir et non point
cramoisi pour ne fait tant de depense (...) Quant a nevoyer la procuration pour la some des dix huict
cent fracz ie ne scay pas quelle occasion le tresorier en face difficulte (...)”.
3. Id.
,Paris, 16/2/1562, 2 pp. sur 1 double f. (qqs mouill. & déchir.). “... S’il est vray qye Monsieur
de Guise soit en bone et sincere amytie avec monsieur le prince de Condé, ne faites au dolpte qu’elle
sera bone, come au contraire fourcé, ses novelles m’ont este dittes pour chose de quoy l’on seroit
bien aysé en mon quartier, pour autent que l’on considere bien, et me dopte que le conte ne soit pour
rompre l’amitié qu’il havoit auparavent, pour l’acciden dernierement avenu, suborné de ses parens
come persone toutte dediée à son particulier... je voldrois bien que tons fussent de mon oppinion,
et quent l’on se met a servir aucun, le servir de tout son povoir... en sa place a la faveur de mons.
le cav. de Borbon...”.
4. Id.
,Blois, 6/12/1559, 1 p. sur 1 f. (manque de papier à la partie sup.). Mentionné: monsieur de
Longueville et de Menon. Il assure que “i’ay prompte volunté de vous remonstrer tous les seignes,
que ont accoustume les aultres Princes envers leurs lieutenentz”.
5.
“votre mr et fidelle amye M. Genant?”, mardi 25/4?, 2 pp. sur 1 f. (souill., qqs pet. trous). “Pour
response... je vous supplie nous faire tan et bien que d’aller a la court pour lassaner (?)... se peult
fair sans un importance”.
6. Henry de Lorraine
(1550-1588), duc de Guise, pendant les guerres de religion défenseur de la
foi catholique signé “duc de guize”, Nanteuil, 9/6/156? (trou), 1 p. sur 1 f. (plié, qqs rouss., 2 trous,




