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178. ZAO
WOU-KI. Carte signée. Paris, s.d.
200 / 300
Vœux de nouvel an imprimés avec ajout autographe signé de la sculptrice Chan May-Kan (épouse de Zao Wou-Ki)
complété par le peintre qui a ajouté sa propre signature.
179. BEAUX-ARTS.
XIX
e
siècle. – Ensemble de 21 pièces, soit : 20 lettres ou cartes, et une photographie dédicacée.
600 / 800
Rosa
Bonheur
(
2
lettres, à une jeune fille pour l’inviter,
1867
, et au relieur Léon Gruel, Château de By,
1898
), William
Bouguereau
(
1882
, concernant ses tableaux vendus à Gimpel et C
ie
qui les font graver), Jules
Chéret
, Fernand
Cormon
(qui fut le professeur de Van Gogh, Toulouse-Lautrec et Matisse), Maurice
Denis
, Eugène
Fromentin
(
2
lettres), Jean-Baptiste
Isabey
(
2
lettres dont une au mémorialiste Horace de Viel-Castel, alors conservateur au musée
du Louvre, s.d.), Alfred
Johannot
(
1835
, lettre à son encadreur), Eugène
Lami
(
3
lettres, s.d., évoquant son travail de
peintre, la préparation d’une exposition, une aiguière qu’on lui offre, Charles Gounod, un traité d’ornementation
architecturale), Henry
Monnier
(portrait photographique, cliché Numa Blanc à Paris, tirage au format carte de visite
monté sur un bristol imprimé au nom du photographe, avec envoi autographe signé de l’artiste au verso «
À mon ami
Roubaud, mon portrait soustrait par lui chez le photographe et à ma honte...
»), Jean-François
Raffaëlli
(à l’historien
d’art Paul Mantz,
1881
, pour le remercier d’une critique favorable), Alfred
Roll
(à la grande couturière Jeanne Beckers
dite Jeanne Paquin,
14
juillet
1914
, très belle lettre traitant de son travail artistique et de son inquiétude sur la situation
internationale, «
... Je peins, je peins ! mais je suis triste, triste... Les dieux ont soif encore...
»), Théophile Alexandre
Steinlen
(
2
lettres, l’une à l’écrivain Rodolphe Darzens, s.d., sur un rendez-vous manqué, et l’autre à l’écrivain et
critique d’art Arsène Alexandre,
1917
, sous forme d’apostille autographe signée sur une invitation à son exposition
organisée rue de La Boétie par les Éditions
La Guerre
), Adolphe
Willette
(s.d., sur une exposition de ses dessins
envisagée à la galerie Devambez), Félix
Ziem
(peintre orientaliste d’abord proche de l’école de Barbizon, à un ami
proche,
1901
, «
J’ai été très malade, les crises nerveuses et les lunatiques névroses. Je vais un peu mieux...
»).




